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1ere Journée scientifiques de la Médecine de Famille/Médecine Communautaire


Le doyen de la Faculté de Médecine et d’odontostomatologie (FMOS) de l’Université des Sciences, des Techniques et des Technologies de Bamako (USTTB) a l’honneur de vous inviter à la 1ere Journée scientifiques de la Médecine de Famille/Médecine Communautaire

le jeudi 05 octobre 2017 dans la salle de Conférences de la Maison des Ainés

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Recrutement d’un consultant pour une étude de cas sur la politique de prestations de soins de santé primaires

Dans le cadre de la couverture sanitaire universelle au Mali, la Direction Nationale de la Protection Sociale et de l'Economie Solidaire recrute un consultant pour une étude de cas sur la politique de prestations de soins de santé primaires.

DATE LIMITE DE DEPOT DES DOSSIERS DE CANDIDATURE : vendredi le 06 octobre à 16heures
LIEU DE DEPOT DES DOSSIERS DE CANDIDATURE : la Direction Nationale de la Protection Sociale et de l’Economie Solidaire avec la mention « recrutement de consultant JLN ».

Les copies électroniques pourront être envoyées aux adresses suivantes : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ; Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. avec en objet « recrutement de consultant JLN»

Pour plus d'information, veuillez télécharger le TDR ci-dessous

Télécharger les pièces jointes :
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Atelier de formation des pharmaciens hospitaliers sur la préparation de la solution hydro-alcoolique (SHA) au centre de formation DIAMCIS de Banankoro Région de Koulikoro au Mali Du 18 au 20 Septembre 2017

Le lundi 18 au  mercredi  20 septembre 2017, s’est tenu dans la salle de conférence du centre de formation et séminaires évènementiels « Diamcis » de Banankoro dans la  région de Koulikoro, l’atelier de formation des pharmaciens hospitaliers sur la préparation de la solution hydro-alcoolique. La réalisation de cet atelier a été possible grâce à l’appui financier de Globale Health Security Agenda (GHSA) à travers le cabinet Groupe Malien Informatique (GMI-Audit).
L’atelier a eu la participation de  14 professionnels de la santé dont  5 participants  des Centres  Hospitaliers  Universitaires (1 du Centre National  d’Odonto – Stomatologie, 1 du  Point – G,  1  de l’Hôpital  Mali, 1 du Kati  et  1 de Gabriel TOURE),  4 participants établissement Publics Hospitaliers (1 de Kayes, 1 de Mopti, 1de Sikasso et 1 de Ségou ); deux facilitateurs, 1 représentant  de l’Agence nationale d’évaluation des Hôpitaux (ANEH) comme personne ressource ; 1 représentant de l’Agence Nationale de Télésanté et d’informatique Médicale à titre  personnel de soutien, 1 représentant du Ministère en charge de la santé comme organisateur
Les cérémonies d’ouverture et de clôture ont été placées sous la haute présidence du représentant du Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique (MSHP) en collaboration avec Global Health Security Aganda (GHSA). A l’ouverture, le représentant du Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique a commencé par les mots de bienvenue puis a situé l’atelier dans son contexte avant d’inviter les participants à plus d’assiduité et d’attention pour une meilleure acquisition de compétences à la production locale de la solution hydro-alcoolique dans les différentes structures de santé. Après la cérémonie d’ouverture, un tour de table a permis aux participants de se connaitre. Les activités de l’atelier ont commencé par un pré test suivi des exposés et des questions de compréhension. Les présentations ont porté le  premier jour  sur la promotion de la production locale de la solution hydro-alcoolique  dans les hôpitaux en Afrique; les indications de l’usage de la solution hydro- alcoolique ; les bonnes pratiques de l’hygiène des mains ; la formulation de la solution hydro-alcoolique ; les bonnes pratiques de la fabrication de la solution hydro-alcoolique ; la notion théorique du contrôle de qualité de la solution hydro-alcoolique.
Les travaux de la  deuxième journée se sont déroulés au Centre Hospitalier Universitaire Gabriel TOURE et ont porté sur le rappel des activités de la première journée, la projection d’un film sur la technique de fabrication de la solution hydro-alcoolique et les travaux  pratiques sur la préparation et le contrôle de qualité de la solution hydro-alcoolique. La préparation de la solution hydro-alcoolique a consisté au nettoyage de la paillasse, le  rangement des matériels, l’habillage; la  vérification du matériel, réactifs et support de préparation ; le titrage de l’éthanol (87,6°c); la mesure des quantités du peroxyde d’hydrogène, de glycérol et d’éthanol nécessaires à la préparation de 10 litres de la SHA ; la  vérification et l’ajustement des quantités mesurées ; le mélange des constituants de la SHA dans un bidon avec robinet et l’identification de la solution contenue dans le bidon. Le contrôle de l’éthanol a porté sur le rangement et l’étiquetage de 100 flacons pour le conditionnement de la SHA, la qualité de la solution hydro-alcoolique ;  la préparation des réactifs pour le contrôle de la qualité de la SHA produite  et  la qualité du peroxyde d’hydrogène par titrage.

Au troisième jour, la formation a porté sur deux grandes étapes, la Logistique des flacons et l’aide-mémoire. L’étape de la logistique a été consolidée par la mise en stock de la SHA, le principe de distribution de la SHA,  l’étape  de l’aide-mémoire a été orientée sur la qualité d’une formation à travers les éléments essentiels et  les critères d’appréciations d’une formation  avant, pendant et après la formation. Les travaux  de la troisième se sont achevés par un post test,  l’évaluation de la session de formation  par les participants et la cérémonie de clôture.  Au cours des travaux  pratiques d’une journée les  participants ont procédé à la production  et  au conditionnement d’une quantité de solution hydro-alcoolique.

Le représentant du Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Dr Bakary DIARRA a remis officiellement à chaque participant au moins deux flocons de solution hydro-alcoolique  produits et conditionnés localement lors  des travaux pratiques en guise de la relance de la production locale de la solution hydro-alcoolique par les pharmaciens hospitaliers. 
Aux termes  des 3 jours des  travaux de l’atelier les participants ont formulé les recommandations, rendre disponible l’éthanol à 96°GL ; rendre disponibles des flacons et de bouchons adaptés à la préparation de la Solution Hydro Alcoolique, rendre disponible les équipements et les réactifs pour la production locale de la Solution Hydro Alcoolique ; rendre disponibles les locaux adaptés pour la  production locale de la Solution Hydro Alcoolique ; faire un plaidoyer auprès de l’administration pour la disponibilité des équipements et réactifs utilisés dans le cadre de la production locale des SHA  et sensibiliser le personnel à l’utilisation systématique de la SHA.

 

 

 

 

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Atelier de formation des formateurs sur le guide de la Surveillance Intégrée de la Maladie et la Riposte (SIMR) au centre DIAMCIS de Banankoro/ Région de Koulikoro.

 

Du Mardi12 au 14 Jeudi Septembre 2017, s’est tenu dans la salle de conférence du centre de formation et séminaires évènementiels « Diamcis » de Banankoro dans la  région de Koulikoro, l’atelier de formation des formateurs sur la surveillance intégrée de la maladie et la riposte au Mali. La réalisation de cet atelier a été possible grâce à l’appui financier de Globale Health Security Agenda (GHSA) à travers le cabinet Groupe Malien Informatique (GMI-Audit).

L’atelier a eu la participation d’une vingtaine de représentants des structures  du ministère en charge de la santé, 9 du niveau National (2 Facilitateurs de la DNS, 3 personnes ressources,  4 participants, DNS (1), ANTIM (1),  et CNAM (2), 11 du niveau régional à savoir, le Directeur Régional de la Santé de Ménaka, 11 responsables de la surveillance épidémiologique ou représentants  des régions de : Kayes, Koulikoro, Sikasso, Ségou, Mopti, Tombouctou, Gao, Kidal et Taoudénit et du district de Bamako et le  partenaire technique, Globale Health Security Agenda

Les cérémonies d’ouverture et de clôture ont été présidées par le responsable du renforcement des capacités du Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique dans le cadre de Globale Health Security Agenda. Dans son intervention d’ouverture, il a  remercié les participants pour avoir répondu à l’invitation et a fait un rappel sur la genèse du programme de sécurité mondiale « Globale Health Security Agenda » qui s’articule autour de douze (12) axes.  Il a fini par situer l’atelier dans son contexte à savoir le renforcement de la compétence des points focaux régionaux sur le guide de la SIMR afin qu’à leur tour qu’ils puissent former les points focaux des districts.

L’objectif général de l’atelier était de renforcer les capacités des personnels de santé en vue de mettre en œuvre les activités de surveillance et de contrôle des maladies.

Pour atteindre ce objectif, des objectifs opérationnels  ont été d’identifier les cas et les événements d’importance en santé publique ; notifier les cas suspects ou les affections ou événements importants pour la santé publique ; analyser et interpréter les données sur les maladies et les événements prioritaires ; investiguer et confirmer les cas suspects, les épidémies ou les événements ; se préparer à répondre aux épidémies et événements importants pour la santé publique ; répondre aux épidémies et événements importants pour la santé publique ; communiquer et apporter des rétro informations, de suivre et évaluer la mise en œuvre de la SIMR. Pour la réalisation des objectifs opérationnels les méthodes  utilisées ont été les présentations suivies de discussions, des exercices en travaux de groupes et les restitutions des résultats issus des travaux de groupe en plénières.

Les présentations ont porté en tout sur 7 Modules à savoir le module d’Introduction sur la SIMR, Module 1.0, l’Identification  des cas de maladies, affections et évènements prioritaires, le module 2.0,  la signalisation des maladies, affections et évènements prioritaires, le module 3.0 , l’analyse et l’interprétation des données sur les maladies prioritaires, le module 4.0, l’examen et la confirmation des cas suspects, des épidémies et autres événements d’importance pour la santé publique, le module 5.0, la préparation et la préparation  à répondre aux flambées et autres événements de santé publique, le module 6.0, le Contrôle, l’évaluation et l’amélioration la surveillance et la réponse et le module 7.0 : la Supervision et la retro information.
Les participants ont été repartis en trois groupes les deux premiers jours puis en deux groupes le dernier jour.

Tous les groupes ont travaillé sur les mêmes exercices.  Le travail de groupe corrélé à la correction selon les directives nationales a permis de mieux assoir les éléments sur la détection et la prévention des cas, l’investigation et le suivi, la collecte , l’analyse et l’interprétation des données, les éléments d’un  plan  d’investigation, de gestion d’une épidémie, l’élaboration d’un rapport  type  d’investigation et l’évaluation finale de la gestion d’une épidémie ou l’évènement de santé publique.

A l’issue des trois jours de formation les participants ont eu à échanger à la suite des  présentations et la restitution des résultats des travaux de groupe en  plénières à pencher sur la concordance des données entre le niveau  central et les districts sanitaires sur la situation des notifications des maladies sous surveillance de la 1ère à la 35ème semaine de 2017 par les régions ; la disponibilité d’un canevas de rapport harmonisé de la situation hebdomadaire sur  la surveillance des régions ; l’accessibilité, la disponibilité  et la connaissance  de la codification  des maladies à déclaration obligatoire et sous surveillance par les différentes parties prenantes ; l’organisation et la représentation des données épidémiologiques  selon le type de graphique en fonction de la variable d’intérêt; les méthodes et techniques de  calcul de la proportion d’échantillon de laboratoire positif ; la notion de qualité des échantillons à envoyés aux laboratoires ; l’intérêt de la distribution proportionnelle des cas cumulés ; la difficulté dans la mobilisation des fonds de gestion  des épidémies et catastrophes ; le calcul de la population à risque ; le lien entre le Comité Permanent de gestion des épidémies et catastrophes (CPGE) et le Département des Operations d’urgence en santé publique (DOU-SP); la faible fonctionnalité des comités permanents de gestion des épidémies et catastrophes ; l’élaboration d’une grille de supervision spécifique pour la surveillance épidémiologique ; la dotation des chargés de surveillance en Flotte ; la félicitation des responsables immédiate pour le travail bien fait lors de la supervision formative.

Au terme des 3 jours de travaux les participants ont formulé les recommandations à savoir, la prise en compte uniquement les échantillons dont les résultats sont parvenus dans le calcul de la proportion des échantillons positifs (DRS), la dynamisation des comités permanents de gestion des épidémies et catastrophes au niveau des districts sanitaires (MCD), l’intégration des contacts  chargés de surveillance épidémiologique den Flotte (DNS/SSE), la diligence  de la formation des chargés de la surveillance épidémiologique des Districts (DRS) et élaborer d’une grille de supervision spécifique pour la surveillance épidémiologique pour ne pas omettre des éléments importants lors de la supervision (DNS).

 

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SYNTHESE GENERALE DE L’ATELIER D’ORIENTATION ET DE FORMATION DES POINTS FOCAUX REGIONAUX ET DES SUPPLEANTS NATIONAUX SUR LES ZOONOSES PRIORITAIRES AU MALI, BANANKORO, DU 05 AU 07 SEPTEMBRE 2017

 

L’an 2017 et du 05 au 7 septembre, s’est déroulé dans la salle de conférence du centre de formation et séminaires évènementiels  Diamcis, Banankoro, Région de Koulikoro, l’atelier d’orientation et de formation des points focaux régionaux et des suppléants nationaux sur les zoonoses prioritaires au Mali. Cet atelier a bénéficié de l’appui   financier de GHSA.
L’atelier a regroupé  les représentants des structures ci-après :

Niveau National

  • INRSP (Institut National de recherche en Santé publique
  • DNS  (Direction Nationale de la Santé) ;
  • DNSV (Direction nationale des Services vétérinaires)
  • DNACPN (Direction Nationale  de l’Assainissement du Contrôle des Pollutions et des Nuisances ;
  • DNA (Direction Nationale de l’Agriculture) ;  
  • DNEF (Direction Nationale des Eaux & Forêt) ;
  • ANGESEM (Agence Nationale de Gestion des Stations d’Epuration du Mali) ;
  • DGPV (Direction Générale de la Protection des Végétaux) ;
  • ANSSA (Agence nationale pour la sécurité Sanitaire des Aliments) ;
  • LCV (Laboratoire Central Vétérinaire) ;
  • CNTS (Centre National de Transfusion Sanguine) ;
  • CNAM/DOU-SP (Centre National d’Appui à la lutte contre la Maladie ;
  • CNASA (Centre National d’Appui à la Santé Animale) ;
  • ANTIM (Agence Nationale de Télésanté et d’Informatique  Médicale) ;
  • ASCOMA (Association des Consommateurs Maliens) ;
  • DGPC (Direction Générale de la protection Civile) ;
  • DPM (Direction de la Pharmacie et du Médicament) ;
  • DNPIA (Direction Nationale des Productions et des Industries Animales) ;
  • DCSSA (Direction Centrale des Services de Santé des Armées) ;
  • FMOS/FAPH (Faculté de Médecine et d’Odontostomatologie et Faculté de Pharmacie)
  • FST (Faculté des Sciences et Techniques et Laboratoire de zoonoses)
  • CRM (Croix Rouge Malienne)

Niveau régional : (Les dix régions et le district de Bamako)

  • DRS  (Direction Régionale de la Santé) ;
  • DRSV (Direction Régionale des Services Vétérinaires) ;
  • DRA (Direction Régionale de l’Agriculture) ;
  • DREF (Direction Régionale des Eaux et Forêt)
  • DRPIA (Direction Régionale des Productions et des Industries Animales).
  • Les personnes ressources (2)
  • Les facilitateurs (4)

Les partenaires techniques :

  • Globale Health Security Agenda
  • USAID
  • Fondation Mérieux
  • Préparation et Réponse (P&R)

Les cérémonies d’ouverture et de clôture ont été marquées par le discours du Chef de Division Prévention et Lutte Contre la Maladie à la DNS,  représentant le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique. Il  a remercié les participants pour avoir répondu à l’invitation et pour avoir rehaussé par leur présence, les travaux de l’atelier d’échanges sur les zoonoses prioritaires au Mali. Il a défini le cadre « One Heath » qui est entrain de se matérialiser, avant d’appeler les participants à relayer l’information au niveau local. Il a enfin adressé ses sincères remerciements à l’ensemble des partenaires techniques et financiers et particulièrement le Global Health Security Agenda  pour les appuis inestimables de rassembler les différents acteurs techniques pluridisciplinaires sur un thème si important et déclare ouvert les travaux.
OBJECTIFS DE L’ATELIER
L’objectif de l’atelier était :
D’orienter sur les zoonoses prioritaires (Rage, Charbon, Brucellose, Leishmaniose, Toxoplasmose, Salmonelloses et Borréliose) les acteurs techniques des 10 régions avec l’appui de GHSA, sur les différents modules se rapportant au narratif de certaines maladies zoonotiques, du guide d’orientation OH/zoonoses et du document de sensibilisation communautaire.
METHODOLOGIE DE L’ATELIER
    La méthodologie de travail a consisté à :

  • Des séances de projection de diapositives sur les différents thèmes ;
  • Des discussions et des échanges.

THEMES : Les présentations ont porté sur
* •    La définition et les généralités sur les zoonoses ;
* •    La rage ;
* •    La fièvre charbonneuse (Anthrax) ;
* •    La leishmaniose ;
* •    La toxoplasmose ;
* •    Les salmonelloses ;
* •    La borréliose ;
* •    La brucellose
* •    Les fiches techniques ;
* •    Revue des grandes lignes du guide  zoonoses ;
* •    La mobilisation communautaire sur les Zoonoses « One Health ».
POINTS DE DISCUSSION :
* •    La classification des zoonoses ;
* •    Les  signes  communs pour les zoonoses ;
* •    Les  formes de rages enregistrées au Mali et les zones affectées  par la rage au Mali ;
* •    La procédure de diagnostic de la rage et le programme de lutte contre la rage;
* •    La conduite à tenir face aux  animaux mordeurs ;
* •    Les mesures de préventions par rapport aux animaux destinés à l’abattage ;
* •    Les risques de propagation  des maladies à travers les vecteurs due à la déforestation, urbanisation, pauvreté ;
* •    Les risques  transfusionnels liés à ces Maladies ;
* •    Les structures qui sont capables de faire le diagnostic au Mali ;
* •    La prise en compte de la symptomatologie chez les animaux au niveau des fiches Techniques ;
* •    La prise en charge des personnes atteintes de la Brucellose ;
* •    Le lien entre la brucellose et l’immunodépression ;
* •    L’utilisation de  certains agents pathogènes comme arme biologique ;
* •    La disponibilité et l’utilisation appropriée des Equipements de Protection Individuel (EPI) ;
* •    La problématique de la gestion des déchets au Mali ;
* •    L’observation des mesures de biosureté relative aux zoonoses prioritaires ;
* •    L’observation des mesures d’hygiène dans le quotidien face aux zoonoses ;
* •    Les signes pathognomoniques des maladies ainsi que le diagnostic différentiel ;
* •    Les difficultés du diagnostic biologique de la salmonellose ;
* •    La lutte anti vectorielle contre les moustiques, rongeurs et les tiques ;
* •    La nomination des points focaux des régions et la collaboration des points focaux de la surveillance épidémiologique existants ainsi que les comités techniques de surveillance ;
* •    La connaissance du milieu avant la mobilisation communautaire ;
* •    Le rôle des leaders religieux, politiques, d’opinions et les responsables techniques ;
Des réponses appropriées et contributions pertinentes ont été faites à toutes ces questions.
RECOMMANDATIONS
* •    Faire une large diffusion nationale, régionale et locale des documents (supports et documents techniques) ;
* •    Organiser les réunions de restitution au niveau local ;
* •    Intégrer le concept « One Health » dans le cursus scolaire et universitaire ;
* •    Former les biologistes pour le diagnostic des Zoonoses ;
* •    Valoriser la recherche scientifique en priorisant les besoins locaux ;
* •    Désigner des points focaux par département (Niveau régional) ;
* •    Augmenter le budget alloué à la protection de l’environnement ;
* •    Mener des études de recherche pour identifier les zoonoses au niveau de la faune sauvage ;
* •    Faire la promotion des langues nationales ;
* •    Renforcer les mesures d’hygiène et de traitement des déchets biomédicaux ;
* •    Créer un système d’information centralisé par rapport aux zoonoses.


Banankoro, le 07 septembre 2017

L’Atelier

 

 

 

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l’atelier d’orientation et de formation des points focaux régionaux et des suppléants nationaux sur les zoonoses prioritaires au Mali

Dans le cadre de la mise en oeuvre des activités du Global Health Security Agenda (GHSA), en collaboration avec le projet Préparation et Réponse (P&R) USAID et la Fondation Mérieux, le Ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique convie les représentants des structures citées en annexe aux Termes de Référence,  à l'atelier de formation des agents des Directions Régionales de la Santé, de l'Elevage, de l'Environnement, de l'Agriculture et les points focaux nationaux suppléants "One Health" sur les zoonoses prioritaires, du 05 au 07 septembre 2017, à partir de 08 heures 30, au centre de conférence DIAMCIS de Banankoro (région de Koulikoro).

Compte tenu de l'importance du thème, la présence de tous est vivement souhaitée.

Retrouvez les TDR et l'Agenda ci-dessous

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OMS: Alerte Produit Médical N° 3/2017 Avastin (bévacizumab) et Sutent (malate de sunitinib) falsifiés circulant en Afrique de l’Est

Cette alerte concerne deux médicaments falsifiés découverts par la National Drug Authority ougandaise et notifiés à l’OMS.
En juillet 2017, des versions falsifiées d’Avastin (bévacizumab) et de Sutent (malate de sunitinib) ont été saisies par la National Drug Authority en Ouganda. Les deux produits étaient distribués à proximité de plusieurs centres de traitement du cancer à Kampala (Ouganda).
Les fabricants des produits authentiques ont confirmé qu’ils ne fabriquaient pas ces produits.
Des informations détaillées et des photographies des deux produits falsifiés sont fournies ci-dessous :

 1 : Avastin (bévacizumab) 400 mg
Nom du produit                   Avastin
Numéro de lot                     NC 1060
Date de péremption            02-2019
Principe actif indiqué          bévacizumab
Fabricant indiqué               Astrazeneca/AstraZenaca

Avastin est le nom commercial d’un médicament fabriqué par Roche/Genentech pour le traitement de différents cancers. Il n’est pas fabriqué par AstraZeneca comme indiqué sur les versions falsifiées.
Cette version falsifiée d’Avastin se présente sous la forme de flacons en plastique contenant des comprimés bleu-gris. La version authentique d’Avastin est commercialisée uniquement sous la forme d’un produit injectable à administrer par voie intraveineuse.

Figure 1. Avastin falsifié

Figure 2. Avastin falsifié

2 : Sutent (malate de sunitinib) 12,5 mg
Nom du produit                           Sutent
Numéro de lot                             NC 2001
Date de péremption                    02-2019
Principe actif indiqué                 malate de sunitinib
Fabricant indiqué                       Astrazeneca/AstraZenaca
Sutent est le nom commercial d’un médicament fabriqué par Pfizer pour le traitement du cancer du pancréas. Il n’est pas fabriqué par AstraZeneca comme indiqué sur les versions falsifiées.
Cette version falsifiée de Sutent se présente sous la forme de flacons en plastique contenant des comprimés bleu-gris. La version authentique de Sutent est uniquement disponible sous la forme de gélules en gélatine.

Figure 3. Sutent falsifié

Figure 4. Sutent falsifié

L’OMS recommande une vigilance accrue au sein des chaînes d’approvisionnement dans les pays potentiellement affectés par ces produits falsifiés. Cette vigilance doit inclure les hôpitaux/cliniques, les centres de santé, les grossistes, les distributeurs, les pharmacies et tout autre fournisseur de produits médicaux.
Si vous êtes en possession de ces produits, veuillez ne pas les utiliser. Si toutefois vous avez utilisé un de ces produits falsifiés ou si vous souffrez d’effets indésirables suite à leur consommation, veuillez immédiatement consulter un professionnel de la santé qualifié et notifier cet incident auprès de votre ministère de la santé/autorité nationale de réglementation du médicament/centre national de pharmacovigilance.
Tout produit médical doit être obtenu auprès de sources authentiques et fiables. L’authenticité et l’état du produit doivent être soigneusement vérifiés. En cas de doute, demandez conseil à un professionnel de la santé.
Les autorités sanitaires nationales sont priées d’informer immédiatement l’OMS si ces produits falsifiés sont découverts dans leur pays. Si vous avez des informations concernant leur fabrication, leur distribution ou leur circulation, veuillez écrire à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..

 

 

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Atelier de validation du guide technique et du plan stratégique de la Surveillance Intégrée de la Maladie et la Riposte (SIMR)

L’an 2017 et du 07 au 11 août s’est déroulé dans la salle de conférence du centre de formation et séminaires évènementiels DIAMCIS, Banankoro, Région de Koulikoro, l’atelier de validation du guide technique et du plan stratégique de la Surveillance Intégrée de la Maladie et la Riposte (SIMR) organisé par la Direction Nationale de la Santé. Cet atelier a bénéficié de l’appui   financier de GHSA. Télécharger  ci-jointles rapports

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1er Forum régional sur la capitalisation et la valorisation des interventions à base communautaire (IBC) par l’utilisation des TIC dans le secteur de la santé en Afrique

Le 1er Forum régional sur la capitalisation et la valorisation des interventions à  base communautaire (IBC) par l’utilisation des TIC dans le secteur de la santé en Afrique se tiendra du 15 au 18 novembre 2017, à Nsa hôtel,  Grand Bassam, Côte d’Ivoire sous le thème : Opérationnalisation de la participation communautaire et de l’utilisation des technologies numériques dans l’action sanitaire publique en Afrique : quels impacts sur l’amélioration de santé.

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