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Célébration de la journée mondiale de la santé mentale.

La salle Wa kamissoko du CICB a abrité ce lundi 30 octobre  la cérémonie de célébration de la journée mondiale de la santé mentale.

C’était sous la présidence de madame le ministre de la santé et du développement social.

Colonel Assa Badiallo Touré avait à ses côtés les partenaires de l’hôpital du point G qui interviennent dans la prise en charge et le traitement de la maladie. Il s’agissait de l’USAID et de médical corps international. Le directeur par intérim de l’USAID richard Kimball précisera que la situation que traverse le Mali est propice à l’augmentation des facteurs de risque à la santé mentale. Pour lui, la santé mentale est un droit humain fondamental pour tous. Cela signifie que toute personne à le droit au meilleur état de santé mentale possible sans discrimination ni exclusion.

Compte tenu de cette situation les Etats-Unis à travers l’USAID renouvellent leur engagement  à soutenir le Mali dans ses efforts pour que la santé mentale soit valorisée, favorisée et protégée comme un droit humain universel au Mali finira-t-il.

La cérémonie a été le lieu de témoignage. Une mère de malade a raconté son calvaire du quotidien avec son fils souffrant de schizophrénie. Elle demandera à tout un chacun d’être plus attentif à la pathologie car elle peut se manifester à tous les niveaux prévient-elle.

Madame le ministre quant à elle a rappelé le contexte de la Journée mondiale de la santé mentale qui est célébrée chaque année le 10 octobre. Le thème de cette année est « La santé mentale est un droit humain universel ». Cette journée selon elle est l’occasion de sensibiliser aux enjeux de santé mentale.

Son département, continue madame le ministre, va soutenir le renforcement des capacités des professionnels du domaine  dans la prestation de soins de santé mentale par une formation continue et une supervision constante ainsi que le renforcement des infrastructures permettant de fournir des soins adéquat de santé mentale.

Elle a aussi demandé aux autorités administratives, politiques et coutumières, et aux associations de s'impliquer davantage dans la lutte contre l'utilisation des stupéfiants.

CCOM/MSDS

Dernière modification lemercredi, 01 novembre 2023 09:17
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