L’hôpital ultramoderne de Mopti devient une réalité
- Publié dans Communiqués
- Lu 1833 fois
- Taille de police Réduire la taille de la police Augmenter la taille de police
- Imprimer
Bamako, le 07 juin. Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Amadou Toumani Touré a procédé à la pose de la 1ère pierre de l’hôpital de Mopti à Sévaré, le jeudi 4 juin 2009. C’était en présence entre autres de Oumar Ibrahima Touré Ministre de la santé, de plusieurs autres membres du gouvernement, d’élus de la nation et des collectivités, du directeur de l'Agence Française de Développement (AFD) Monsieur Hervé BOUGAULT, de la représentente résidente de la coopération technique Belge Mme Jeanine SIMBIZI, d’ambassadeurs et chefs de missions diplomatiques et du Docteur Fatoumata Binta Tidiane Représentant de l’OMS au Mali.
La réalisation de cet hôpital s’inscrit dans le cadre des promesses en matière de santé, faites par le Président de la République au peuple malien, dans le Programme de Développement Economique et Social (PDES).
Il est cofinancé à hauteur de 5.696.086.790 francs CFA hors taxes, par la France et la Belgique à travers l’Agence Française de Développement (AFD) et la Coopération Technique Belge (CTB) au Mali. Situé aux abords de la Route nationale 16 traversant Sévaré, le nouvel hôpital aura une capacité de 122 lits et sera bâti sur une superficie d’environ 6.555 m2.
Selon Oumar Ibrahima Touré : « L’hôpital de Mopti devient une réalité grâce à l’engagement personnel de Son Excellence Monsieur Amadou Toumani Touré Président de la République, pour doter la Venise malienne d’une infrastructure imposante en matière de santé. Une infrastructure qui sera inaugurée comme tous les autres grands chantiers du PDES, lors de la commémoration du cinquantenaire de l’indépendance de notre pays. »
Notons que cet investissement grandiose va répondre aux objectifs assignés au Ministère de la santé, dans le cadre du Programme de Développement Socio Sanitaire, en ce qui concerne principalement l’accessibilité géographique aux services de santé des districts sanitaires, et l’amélioration de la qualité des services de santé.