La 10ième Assemblée générale statutaire du conseil nationale de l’ordre des sages-femmes du mali
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La 10ième Assemblée générale du conseil nationale de l’ordre des sages-femmes du mali s’est tenu du 17 au 18 Décembre 2011 dans la maison des ainées à Bamako.
Cette assemblée générale est statutaire, elle se tient chaque année pour mesurer non seulement les progrès escomptés, mais aussi les déficits en vue de proposer des solutions pour la promotion de la profession et surtout pour le bien-être des populations en général des mères et des enfants en particulier.
Cependant au-delà de son caractère réglementaire, l’assemblée Générale statutaire offre l’opportunité aux sages-femmes de se rencontrer, partager les expériences professionnelles.
<Elle sert aussi de cadre appropriée de formation continue toute chose indispensable pour un domaine aussi sensible et mouvant qu’est le notre> : Disait la présidente
En effet, la sage femme doit sans cesse s’adapter aux exigences de son métier. Ses compétences s’élargissent et aujourd’hui elle est plus que jamais sollicitée et doit répondre aux besoins essentiels des mères, des enfants des familles et de la communauté toute entière. Cela exige du professionnalisme.
Il s’agit d’une profession médicale à compétence définie, elle consiste à accompagner la femme enceinte avant, pendant et après l’accouchement qui reste une fierté pour les sages femmes de l’ordre voire cette profession revenir de droit aux femmes d’où le nom de Sage Femme qui en 1985 était pratiquée seulement par les hommes.
Pour joindre la vision 2010 des Epouses des chefs d’Etats, nous reconnaissons que toute grossesse est potentiellement à risque et constitue une menace pour la vie de la mère et de l’enfant et que ce risque peut être minimisé par une assistance qualifiée.
D’où tout l’intérêt d’une formation continue des sages femmes qui sont les actrices en première ligne dans la lutte contre la mortalité maternelle et infantile. L’atteinte des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire passe en grande partie par la sage femme pour ce faire, il faut investir dans la sage femme pour l’offre des soins de qualité.
L’atteinte des objectifs de la vision 2010 + 5 chère aux premières Dames de l’Afrique de l’ouest et du centre dont Mme Touré Lobo Traoré présidente d’honneur de l’ordre des sages femmes du Mali est un défi pour les sages-femmes du Mali.
Ainsi les thèmes retenus pour cette 10ème assemblée sont :
• la prévention de l’éclampsie et la planification familiale (les méthodes de longue durée).
• Autorités politico administratives, sanitaires, communales, religieuses et traditionnelles, les familles surtout les hommes conjuguons nos efforts pour une réduction significative de la mortalité maternelle et infantile en vue de l’atteinte des OMD 4, 5 et 6 d’ici 2015.
• Pour garantir la qualité de l’offre des services de sante de la reproduction. il faut des sages femmes qualifiées et en nombre suffisant.
En effet l’éclampsie est une pathologie de la période gravido puerpérale et elle est une des causes majeures de la mortalité maternelle dans le monde, en particulier en Afrique. Elle représente la 3ème cause de mortalité maternelle au Mali après l’hémorragie et l’infection.
C’est une pathologie qui enlève a la nation ce qu’elle a de plus chère les mères, les épouses, les procréatrices ; cependant la prévention de l’éclampsie est possibles par des moyens accessibles tels que les CPN recentrées, la planification familiale.
La prévention contribuera à la réduction de la mortalité maternelle et va sécuriser la grossesse et l’accouchement chez la femme.
Aussi si tout les besoins en planification familiale étaient satisfaits, la prévalence contraceptive passerait de 8 à 40%.
Toute chose qui justifie le repositionnement du PF au Mali dont les effets bénéfiques ne sont plus à démontrer tant sur la qualité de vie de la mère de l’enfant et de la famille toute entière. Vive les sages femmes pour que vive le Mali tout entier.
<Elle sert aussi de cadre appropriée de formation continue toute chose indispensable pour un domaine aussi sensible et mouvant qu’est le notre> : Disait la présidente
En effet, la sage femme doit sans cesse s’adapter aux exigences de son métier. Ses compétences s’élargissent et aujourd’hui elle est plus que jamais sollicitée et doit répondre aux besoins essentiels des mères, des enfants des familles et de la communauté toute entière. Cela exige du professionnalisme.
Il s’agit d’une profession médicale à compétence définie, elle consiste à accompagner la femme enceinte avant, pendant et après l’accouchement qui reste une fierté pour les sages femmes de l’ordre voire cette profession revenir de droit aux femmes d’où le nom de Sage Femme qui en 1985 était pratiquée seulement par les hommes.
Pour joindre la vision 2010 des Epouses des chefs d’Etats, nous reconnaissons que toute grossesse est potentiellement à risque et constitue une menace pour la vie de la mère et de l’enfant et que ce risque peut être minimisé par une assistance qualifiée.
D’où tout l’intérêt d’une formation continue des sages femmes qui sont les actrices en première ligne dans la lutte contre la mortalité maternelle et infantile. L’atteinte des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire passe en grande partie par la sage femme pour ce faire, il faut investir dans la sage femme pour l’offre des soins de qualité.
L’atteinte des objectifs de la vision 2010 + 5 chère aux premières Dames de l’Afrique de l’ouest et du centre dont Mme Touré Lobo Traoré présidente d’honneur de l’ordre des sages femmes du Mali est un défi pour les sages-femmes du Mali.
Ainsi les thèmes retenus pour cette 10ème assemblée sont :
• la prévention de l’éclampsie et la planification familiale (les méthodes de longue durée).
• Autorités politico administratives, sanitaires, communales, religieuses et traditionnelles, les familles surtout les hommes conjuguons nos efforts pour une réduction significative de la mortalité maternelle et infantile en vue de l’atteinte des OMD 4, 5 et 6 d’ici 2015.
• Pour garantir la qualité de l’offre des services de sante de la reproduction. il faut des sages femmes qualifiées et en nombre suffisant.
En effet l’éclampsie est une pathologie de la période gravido puerpérale et elle est une des causes majeures de la mortalité maternelle dans le monde, en particulier en Afrique. Elle représente la 3ème cause de mortalité maternelle au Mali après l’hémorragie et l’infection.
C’est une pathologie qui enlève a la nation ce qu’elle a de plus chère les mères, les épouses, les procréatrices ; cependant la prévention de l’éclampsie est possibles par des moyens accessibles tels que les CPN recentrées, la planification familiale.
La prévention contribuera à la réduction de la mortalité maternelle et va sécuriser la grossesse et l’accouchement chez la femme.
Aussi si tout les besoins en planification familiale étaient satisfaits, la prévalence contraceptive passerait de 8 à 40%.
Toute chose qui justifie le repositionnement du PF au Mali dont les effets bénéfiques ne sont plus à démontrer tant sur la qualité de vie de la mère de l’enfant et de la famille toute entière. Vive les sages femmes pour que vive le Mali tout entier.
Dernière modification lemardi, 11 novembre 2014 00:06