Réseau des Laboratoires D'Afrique pour un Contrôle de Qualité des Médicaments
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Le Ministre de la Santé Oumar Ibrahima Touré, a présidé le lundi 27 Septembre 2010 à l’hôtel AZALAI SALAM, la 2ème rencontre statutaire du Réseau des Laboratoires d’Afrique pour le Contrôle de Qualité des Médicaments. C’était en présence du Représentant de l’OMS Dr Diallo Fatoumata Binta Tidiane, du Représentant du Programme pour la Promotion de la Qualité des Médicaments auprès de la Pharmacopée Américaine M. Kennedy M. Chibwe, du Directeur des Laboratoires et des Contrôles de l’Agence Française de la Sécurité Sanitaire des produits de Santé Professeur Alain Nicolas, du Directeur général du LNS Prof.
. Benoît Koumaré, des Directeurs et Experts Analystes des Laboratoires de contrôle de Qualité des Médicaments de l’Ethiopie, du Ghana, du Kenya, de l’Ouganda, du Sénégal et du Mali, ainsi que les proches collaborateurs du Ministre.
Selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé, le trafic de faux médicaments rapporte annuellement 60 milliards de dollars américains, et représente près de 10% du marché mondial. Oumar Ibrahima Touré dira : « Aussi, vous vous souvenez, certainement comme moi, que près de 100 bébés sont décédés dans un pays voisin après avoir absorbé du faux sirop de Paracétamol en 2008. Mieux, la conférence de Cotonou au Bénin, organisée par la Fondation CHIRAC et qui a regroupé 11 Chefs d’Etat, a été l’occasion d’un plaidoyer mondial contre les mauvais médicaments et médicaments contrefaits. Une conférence à laquelle, nous avons personnellement représenté le Président de la République du Mali Son Excellence Monsieur Amadou Toumani Touré, signifiant ainsi l’engagement de notre pays dans la lutte. »
Il apparaît aujourd’hui que les mauvais médicaments et les médicaments contrefaits, constituent une réelle menace pour la santé de nos populations et les économies de nos pays.
A ce niveau, les différents constats, ont permis de noter que la qualité, l’efficacité et l’innocuité des médicaments se trouvent menacées par les défis actuels liés à la mondialisation. Il s’agit entre autres de la réémergence de certaines maladies avec le développement de la résistance des germes aux médicaments classiques, les pandémies comme le VIH, le Sida et la grippe aviaire pour lesquelles la thérapeutique médicamenteuse reste insuffisante. Il s’agit également du développement de la contrefaçon des médicaments, le marché illicite des médicaments, et l’avènement des génériques multi sources dont l’équivalence thérapeutique doit être assurée.
Tout cela exige de nos laboratoires de contrôle, des capacités techniques optimales pour le management de la qualité. D’où l’importance de la rencontre de Bamako.
Le Ministre a également salué les multiples appuis du Programme pour la Promotion de la Qualité des Médicaments auprès de la Pharmacopée Américaine. Des appuis qui ont permis au Laboratoire National de la Santé, la déconcentration des activités de contrôle par la mise en place de Kits Minilabs au niveau des régions du Mali, et la création de postes sentinelles pour le contrôle de la qualité des antipaludiques. Ils ont également contribué à étoffer l’arsenal des moyens de contrôle au Mali, comme l’appareil pour les tests de dissolution, le Spectrophotomètre à Infra Rouge, le Karl Fisher, les substances de références, ainsi que divers accessoires et petits matériels.
. Benoît Koumaré, des Directeurs et Experts Analystes des Laboratoires de contrôle de Qualité des Médicaments de l’Ethiopie, du Ghana, du Kenya, de l’Ouganda, du Sénégal et du Mali, ainsi que les proches collaborateurs du Ministre.
Selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé, le trafic de faux médicaments rapporte annuellement 60 milliards de dollars américains, et représente près de 10% du marché mondial. Oumar Ibrahima Touré dira : « Aussi, vous vous souvenez, certainement comme moi, que près de 100 bébés sont décédés dans un pays voisin après avoir absorbé du faux sirop de Paracétamol en 2008. Mieux, la conférence de Cotonou au Bénin, organisée par la Fondation CHIRAC et qui a regroupé 11 Chefs d’Etat, a été l’occasion d’un plaidoyer mondial contre les mauvais médicaments et médicaments contrefaits. Une conférence à laquelle, nous avons personnellement représenté le Président de la République du Mali Son Excellence Monsieur Amadou Toumani Touré, signifiant ainsi l’engagement de notre pays dans la lutte. »
Il apparaît aujourd’hui que les mauvais médicaments et les médicaments contrefaits, constituent une réelle menace pour la santé de nos populations et les économies de nos pays.
A ce niveau, les différents constats, ont permis de noter que la qualité, l’efficacité et l’innocuité des médicaments se trouvent menacées par les défis actuels liés à la mondialisation. Il s’agit entre autres de la réémergence de certaines maladies avec le développement de la résistance des germes aux médicaments classiques, les pandémies comme le VIH, le Sida et la grippe aviaire pour lesquelles la thérapeutique médicamenteuse reste insuffisante. Il s’agit également du développement de la contrefaçon des médicaments, le marché illicite des médicaments, et l’avènement des génériques multi sources dont l’équivalence thérapeutique doit être assurée.
Tout cela exige de nos laboratoires de contrôle, des capacités techniques optimales pour le management de la qualité. D’où l’importance de la rencontre de Bamako.
Le Ministre a également salué les multiples appuis du Programme pour la Promotion de la Qualité des Médicaments auprès de la Pharmacopée Américaine. Des appuis qui ont permis au Laboratoire National de la Santé, la déconcentration des activités de contrôle par la mise en place de Kits Minilabs au niveau des régions du Mali, et la création de postes sentinelles pour le contrôle de la qualité des antipaludiques. Ils ont également contribué à étoffer l’arsenal des moyens de contrôle au Mali, comme l’appareil pour les tests de dissolution, le Spectrophotomètre à Infra Rouge, le Karl Fisher, les substances de références, ainsi que divers accessoires et petits matériels.
. Benoît Koumaré, des Directeurs et Experts Analystes des Laboratoires de contrôle de Qualité des Médicaments de l’Ethiopie, du Ghana, du Kenya, de l’Ouganda, du Sénégal et du Mali, ainsi que les proches collaborateurs du Ministre.
Selon les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé, le trafic de faux médicaments rapporte annuellement 60 milliards de dollars américains, et représente près de 10% du marché mondial. Oumar Ibrahima Touré dira : « Aussi, vous vous souvenez, certainement comme moi, que près de 100 bébés sont décédés dans un pays voisin après avoir absorbé du faux sirop de Paracétamol en 2008. Mieux, la conférence de Cotonou au Bénin, organisée par la Fondation CHIRAC et qui a regroupé 11 Chefs d’Etat, a été l’occasion d’un plaidoyer mondial contre les mauvais médicaments et médicaments contrefaits. Une conférence à laquelle, nous avons personnellement représenté le Président de la République du Mali Son Excellence Monsieur Amadou Toumani Touré, signifiant ainsi l’engagement de notre pays dans la lutte. »
Il apparaît aujourd’hui que les mauvais médicaments et les médicaments contrefaits, constituent une réelle menace pour la santé de nos populations et les économies de nos pays.
A ce niveau, les différents constats, ont permis de noter que la qualité, l’efficacité et l’innocuité des médicaments se trouvent menacées par les défis actuels liés à la mondialisation. Il s’agit entre autres de la réémergence de certaines maladies avec le développement de la résistance des germes aux médicaments classiques, les pandémies comme le VIH, le Sida et la grippe aviaire pour lesquelles la thérapeutique médicamenteuse reste insuffisante. Il s’agit également du développement de la contrefaçon des médicaments, le marché illicite des médicaments, et l’avènement des génériques multi sources dont l’équivalence thérapeutique doit être assurée.
Tout cela exige de nos laboratoires de contrôle, des capacités techniques optimales pour le management de la qualité. D’où l’importance de la rencontre de Bamako.
Le Ministre a également salué les multiples appuis du Programme pour la Promotion de la Qualité des Médicaments auprès de la Pharmacopée Américaine. Des appuis qui ont permis au Laboratoire National de la Santé, la déconcentration des activités de contrôle par la mise en place de Kits Minilabs au niveau des régions du Mali, et la création de postes sentinelles pour le contrôle de la qualité des antipaludiques. Ils ont également contribué à étoffer l’arsenal des moyens de contrôle au Mali, comme l’appareil pour les tests de dissolution, le Spectrophotomètre à Infra Rouge, le Karl Fisher, les substances de références, ainsi que divers accessoires et petits matériels.