Journée mondiale de la Santé - 7 avril 2009
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Monsieur le Ministre de la Sécurité intérieure et de la protection civile,
Honorables députés de l’Assemblée Nationale,
Excellence Monsieur le Doyen du Corps diplomatique,
Excellences Mesdames, Messieurs les Ambassadeurs
Madame le Chef de file des Partenaires techniques et financiers,
Madame le Représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé,
Mesdames, Messieurs les représentants des Institutions internationales et Organisations non gouvernementales,
Monsieur le Gouverneur du District de Bamako,
Monsieur le Maire du District,
Monsieur le Maire de la Commune III,
Monsieur le Président de la FENASCOM,
Mesdames, Messieurs les représentants de la société civile,
Mesdames, Messieurs les professionnels de la santé,
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
C’est un réel plaisir et un honneur pour moi, de présider l’édition 2009 de la journée mondiale de la santé.
En effet, le 7 avril de chaque année, nous commémorons la création de l’Organisation mondiale de la santé.
C’est aussi l’occasion pour l’Organisation mondiale de la santé et les Etats membres, d’attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur les problèmes de santé importants que nous vivons.
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
Les situations d’urgences et les catastrophes, font partie des situations de la vie au quotidien. Il convient de s’y préparer à l’effet d’actions et de réactions appropriées.
Ainsi, on peut noter que des épidémies de maladies transmissibles surviennent fréquemment, à cause de la précarité des conditions de vie, de la pauvreté, du climat, de la guerre et autres conflits.
On peut citer entre autres les menaces de la maladie de la vache folle et sa variante humaine, la maladie de Creutzfeldt Jacob, le syndrome respiratoire aigue sévère appelé SRAS, et la grippe humaine d’origine aviaire.
Lors de ces situations d’urgence, le personnel de santé, les établissements et les services de santé sont souvent touchés. C’est un fait qui prive les citoyens, d’offres de prestations de santé vitales. Et cela, au moment où ils en ont le plus besoin.
Le thème de la présente journée mondiale de la santé souligne l’importance d’avoir des équipes de soins dans des établissements de santé, susceptibles de résister à ces dangers. Des équipes qui sont en mesure de desservir à la fois les citoyens, directement ou indirectement touchés.
Honorables députés de l’Assemblée Nationale,
Excellence Monsieur le Doyen du Corps diplomatique,
Excellences Mesdames, Messieurs les Ambassadeurs
Madame le Chef de file des Partenaires techniques et financiers,
Madame le Représentant de l’Organisation Mondiale de la Santé,
Mesdames, Messieurs les représentants des Institutions internationales et Organisations non gouvernementales,
Monsieur le Gouverneur du District de Bamako,
Monsieur le Maire du District,
Monsieur le Maire de la Commune III,
Monsieur le Président de la FENASCOM,
Mesdames, Messieurs les représentants de la société civile,
Mesdames, Messieurs les professionnels de la santé,
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
C’est un réel plaisir et un honneur pour moi, de présider l’édition 2009 de la journée mondiale de la santé.
En effet, le 7 avril de chaque année, nous commémorons la création de l’Organisation mondiale de la santé.
C’est aussi l’occasion pour l’Organisation mondiale de la santé et les Etats membres, d’attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur les problèmes de santé importants que nous vivons.
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
Les situations d’urgences et les catastrophes, font partie des situations de la vie au quotidien. Il convient de s’y préparer à l’effet d’actions et de réactions appropriées.
Ainsi, on peut noter que des épidémies de maladies transmissibles surviennent fréquemment, à cause de la précarité des conditions de vie, de la pauvreté, du climat, de la guerre et autres conflits.
On peut citer entre autres les menaces de la maladie de la vache folle et sa variante humaine, la maladie de Creutzfeldt Jacob, le syndrome respiratoire aigue sévère appelé SRAS, et la grippe humaine d’origine aviaire.
Lors de ces situations d’urgence, le personnel de santé, les établissements et les services de santé sont souvent touchés. C’est un fait qui prive les citoyens, d’offres de prestations de santé vitales. Et cela, au moment où ils en ont le plus besoin.
Le thème de la présente journée mondiale de la santé souligne l’importance d’avoir des équipes de soins dans des établissements de santé, susceptibles de résister à ces dangers. Des équipes qui sont en mesure de desservir à la fois les citoyens, directement ou indirectement touchés.
Mesdames, Messieurs,
S’agissant du Mali, au cours des quatre dernières décennies, nous avons été confrontés à des situations d’urgence, où tout ou partie des districts sanitaires ont été touchés.
Entre autres situations, je noterai les épidémies de méningite cérébrospinale, de choléra, de fièvre jaune, et plus récemment la dengue et la fièvre de Lassa.
L’observation, au cours de nombreuses années, a aussi montré que les risques d’inondations sont élevés dans le bassin du Niger, qui s’étend sur 300 km de long et 100 Km de large. Environ 600.000 habitants y sont exposés, avec des conséquences énormes en dégâts matériels et pertes en vies humaines.
A cette situation, s’ajoutent les nombreux accidents de la voie publique que nous vivons au quotidien.
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
Au Mali, des actions importantes sont mises en œuvre, pour renforcer la prise en charge des urgences et la protection du citoyen.
Il s’agit de la création d’une ligne de crédit «épidémies et catastrophes», pour faciliter la mobilisation appropriée des ressources financières.
Il s’agit aussi de la formation à une surveillance épidémiologique appropriée, avec des comptes rendus hebdomadaires à tous les paliers de décision.
C’est dans ce cadre que les personnels des districts sanitaires y compris ceux des laboratoires, ont été formés à la surveillance intégrée des maladies et à la riposte adéquate. Sans oublier que des équipes d’interventions rapides, ont été mises en place dans les districts sanitaires et les directions régionales de la santé.
Il s’agit également de l’adoption de la loi hospitalière, et de la formation à la responsabilité médicale.
Ainsi, une série de formation à la responsabilité médicale a commencé, et devrait continuer jusqu’à atteindre une masse critique de professionnels.
En cela, nous devrons parvenir à des ressources humaines, dont l’action et le comportement influeront la qualité des prestations attendues de véritables professionnels de santé. Comme le ferait le « bon médecin », le « bon professionnel », même en situation de pénurie.
Je mentionnerai de même le fait que des établissements hospitaliers, sont en cours de rénovation ou de création.
Je signalerai enfin les importants programmes de renforcement des capacités du personnel des établissements de soins, qui sont planifiés dans le cadre du PRODESS.
A terme, nous devrons parvenir au développement harmonieux d’un système de soins approprié, efficace et efficient.
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
Le thème retenu pour la journée mondiale 2009 qui est : « Sauver des vies : des hôpitaux sûrs dans les situations d’urgence », nous interpelle tous.
Aussi, j’invite l’ensemble des Partenaires et des services techniques à nous soutenir davantage, dans la conception et la construction d’établissements de soins sûrs ainsi que dans la préparation de la réponse aux situations d’urgences.
Avant de terminer, je voudrais renouveler mes sincères remerciements à l’endroit de l’Organisation mondiale de la santé et de l’ensemble des Partenaires Techniques et financiers, qui nous appuient continuellement pour le renforcement de notre système de santé.
Je demeure convaincu que seule notre unité d’actions, est à même de procurer une meilleure santé aux maliennes et aux maliens.
Mesdames, Messieurs,
En fondant l’espoir sur l’engagement de l’ensemble du personnel socio sanitaire qui ne nous a jamais fait défaut, je déclare lancée l’édition 2009 de la Journée mondiale de la santé.
Je vous remercie de votre aimable attention.
S’agissant du Mali, au cours des quatre dernières décennies, nous avons été confrontés à des situations d’urgence, où tout ou partie des districts sanitaires ont été touchés.
Entre autres situations, je noterai les épidémies de méningite cérébrospinale, de choléra, de fièvre jaune, et plus récemment la dengue et la fièvre de Lassa.
L’observation, au cours de nombreuses années, a aussi montré que les risques d’inondations sont élevés dans le bassin du Niger, qui s’étend sur 300 km de long et 100 Km de large. Environ 600.000 habitants y sont exposés, avec des conséquences énormes en dégâts matériels et pertes en vies humaines.
A cette situation, s’ajoutent les nombreux accidents de la voie publique que nous vivons au quotidien.
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
Au Mali, des actions importantes sont mises en œuvre, pour renforcer la prise en charge des urgences et la protection du citoyen.
Il s’agit de la création d’une ligne de crédit «épidémies et catastrophes», pour faciliter la mobilisation appropriée des ressources financières.
Il s’agit aussi de la formation à une surveillance épidémiologique appropriée, avec des comptes rendus hebdomadaires à tous les paliers de décision.
C’est dans ce cadre que les personnels des districts sanitaires y compris ceux des laboratoires, ont été formés à la surveillance intégrée des maladies et à la riposte adéquate. Sans oublier que des équipes d’interventions rapides, ont été mises en place dans les districts sanitaires et les directions régionales de la santé.
Il s’agit également de l’adoption de la loi hospitalière, et de la formation à la responsabilité médicale.
Ainsi, une série de formation à la responsabilité médicale a commencé, et devrait continuer jusqu’à atteindre une masse critique de professionnels.
En cela, nous devrons parvenir à des ressources humaines, dont l’action et le comportement influeront la qualité des prestations attendues de véritables professionnels de santé. Comme le ferait le « bon médecin », le « bon professionnel », même en situation de pénurie.
Je mentionnerai de même le fait que des établissements hospitaliers, sont en cours de rénovation ou de création.
Je signalerai enfin les importants programmes de renforcement des capacités du personnel des établissements de soins, qui sont planifiés dans le cadre du PRODESS.
A terme, nous devrons parvenir au développement harmonieux d’un système de soins approprié, efficace et efficient.
Honorables invités,
Mesdames, Messieurs,
Le thème retenu pour la journée mondiale 2009 qui est : « Sauver des vies : des hôpitaux sûrs dans les situations d’urgence », nous interpelle tous.
Aussi, j’invite l’ensemble des Partenaires et des services techniques à nous soutenir davantage, dans la conception et la construction d’établissements de soins sûrs ainsi que dans la préparation de la réponse aux situations d’urgences.
Avant de terminer, je voudrais renouveler mes sincères remerciements à l’endroit de l’Organisation mondiale de la santé et de l’ensemble des Partenaires Techniques et financiers, qui nous appuient continuellement pour le renforcement de notre système de santé.
Je demeure convaincu que seule notre unité d’actions, est à même de procurer une meilleure santé aux maliennes et aux maliens.
Mesdames, Messieurs,
En fondant l’espoir sur l’engagement de l’ensemble du personnel socio sanitaire qui ne nous a jamais fait défaut, je déclare lancée l’édition 2009 de la Journée mondiale de la santé.
Je vous remercie de votre aimable attention.
Dernière modification lemardi, 11 novembre 2014 00:06