Bulletin d'informations d'épidemiologique
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Maladie a virus Ebola en république Démocratique du Congo et en Ouganda.
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Maladie a virus Ebola en république Démocratique du Congo et en Ouganda.
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ACAME (Association africaine des Centrales d'Achats de Médicaments Essentiels) recrute un pharmacien, spécialisé en santé publique ou gestion des approvisionnements de produits de santé souhaitée.
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Le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Michel Hamala Sidibé, a fait l’état de la situation sanitaire de notre pays, le lundi dernier à la faveur d’une séance plénière de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève, en Suisse. Etaient au cœur de son intervention les reformes entreprises par notre pays à travers la prise de décision par le president de la République rendant gratuit un certain nombre de soins et de services de Santé : la prise en charge de la grossesse ; la prise en charge de la planification familiale ; la prise en charge des enfants de moins de 5 ans ; la prise en charge des personnes de 70 ans et plus ; et la dialyse.
Les travaux de l’Assemblée mondiale de la santé se sont ouverts le lundi 20 mai 2019 au Plais des Nations à Genève en Suis se, en presence des représentants de 194 pays avec lesquels l'OMS cillabore. Le Mali participe à cette importante réunion de haut niveau avec une forte délégation conduite par le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Michel Hamala Sidibé. En qualité de chef du département de la Santé et des Affaires sociales du Mali, Michel Hamala Sidibé, devant ses pairs ce mardi 21 dernier lors d’une séance plénière. Dans son intervention, le ministre Michel H. Sidibé a tout d’abord, au nom du président de la République, Ibrahim Boubacar Keita, adressé ses remerciements les plus sincères à l’Organisation Mondiale de la Santé à travers son directeur général, Dr Tedros Adahnome Ghebreysus . « Le Gouvernement du Mali exprime, par ma voix, toute la gratitude du peuple malien pour les appuis multiformes que l’Organisation Mondiale de la Santé apporte à notre pays en dépit d’un contexte sécuritaire particulier et d’insuffisance de ressources pour le développement de la santé ».
Le chef du département de la santé a informé les participants à ce forum de la volonté de notre pays d’inscrire la couverture sanitaire universelle dans son programme présidentiel d’urgence sociale pour une meilleure prise en charge des besoins de santé des populations de façon non discriminatoire. Pour ce faire, notre pays a adopté en décembre 2018, une loi portant institution du régime d’Assurance Maladie Universelle, a rappelé M. Sidibé.
Les réformes
L’ancien patron de l’Onu Sida s’est penché sur les réformes en cours dans notre pays avec comme objectif de faire la couverture sanitaire universelle une réalité pour tous. Cette mise à jour de notre système de santé s’est matérialisée par l’adoption récente par le l'Etat de la gratuité des soins au nombre de cinq : la gratuité de la prise en charge de la grossesse ; la gratuité de la prise en charge de la planification familiale ; la gratuité de la prise en charge des enfants de moins de 5 ans ; la gratuité de la prise en charge des personnes de 70 ans et plus ; et la gratuité de la dialyse.
Mortalité maternelle et infantile
Le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Michel H. Sidibé a également fait cas des efforts de notre pays à endiguer ce fléau qu'est la mortalité maternelle et onfantile qui ébranle notre système de santé. « En plaçant le patient au cœur des préoccupations, le Mali se fixe comme objectif dans un horizon proche, la réduction significative de la mortalité maternelle et infantile ainsi que l’élimination du paludisme, la réduction de la malnutrition sévère, le contrôle du VIH/Sida etc. Notre approche consiste à mieux prévenir les maladies, prendre correctement en charge les cas et promouvoir les bonnes pratiques en santé jusqu’au au niveau le plus périphérique possible », a assuré Michel H. Sidibé.
A l’en croire, la lutte contre les inégalités entre les femmes et les hommes sera un levier afin de garantir l’accès équitable aux soins de santé de qualité. « A cet égard, il importe de retenir que malheureusement une femme meurt toutes les 3 heures des des suites de couches. La santé de la reproduction sera un axe prioritaire de nos interventions futures », a annoncé M. Sidibé avant d’évoquer les épidémies récurrentes qui imposent à notre pays régulièrement des campagnes de vaccination dont celle contre la rougeole qui se déroule présentement sur toute l’étendue du territoire national.
Santé communautaire pour renforcer notre système de santé
Pour l’atteinte de la couverture sanitaire universelle, le système de santé du Mali va s’appuyer fortement sur les agents de santé communautaire (ASC) pour le renforcement de la première ligne, a indiqué le MSAS. « Dans cette dynamique, le système de santé du Mali accorde une place de choix à l’épidémiologie de terrain pour renforcer l’interface avec les communautés et collecter les données fiables en temps réel », ajoutera-t-il.
Pour ce faire, dans la logique de la résolution de l’Union Africaine, le président de la République a donné des instructions fermes pour l’intégration des agents de santé communautaire dans le système de santé, a rappelé M. Sidibé.
Fonds mondial pour lutter contre le Sida, la tuberculose et le paludisme
Selon M. Sidibé, le Mali s’engage résolument à contribuer au succès de la reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. « Cette opportunité en complémentarité avec l’appui de la fondation Gavi, va sans doute accélérer l’atteinte des objectifs de lutte contre ces maladies prioritaires et la vaccination », a noté le chef du département de la santé et des Affaires sociales.
Il a informé de la volonté de notre pays à travers le président de la République de la mise en place d’un G7 Sahel Santé en collaboration avec les autres Etats membres de l’alliance Sahel.
"La santé pour tous : s'engager pour une couverture sanitaire universelle" est un thème de cette 72e Assemblée mondiale.
Au terme de son intervention devant ses pairs du monde entier, le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Michel Hamala Sidibé, tout en comptant sur l’accompagnement des partenaires techniques et financiers, fonde l’espoir de faire de la Couverture maladie universelle, une réalité au bénéfice de ses populations.
CM-MSAS
" Le Mali s’engage résolument à contribuer au succès de la reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. Cette opportunité en complémentarité avec l’appui de la fondation Gavi, va sans doute accélérer l’atteinte des objectifs de lutte contre ces maladies prioritaires et la vaccination"
A Bamako, du 24 au 26 avril 2019, s'est déroulée la 3e réunion du comité de pilotage du Projet démographie et santé sexuelle et de la reproduction (Demsan), piloté par l'Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS). Le projet est financé par l'Agence Française de Développement (AFD) pour 10 millions deuros.
Lancé officiellement en décembre 2016 à Abidjan (RCI), le Projet Demsan vise à renforcer : le rôle et la mission de l'OOAS en matière de pilotage et de gestion des connaissances sur les questions démographiques et de santé sexuelle et reproductive ; le plaidoyer politique en faveur des droits et de la santé et reproductive et favoriser l'émergence de la société civile dans ces domaines.
Il vise en outre à renforcer les capacités des Etats membres en matière délaboration et de mise en uvre, de suivi et d'évaluation des politiques et stratégies en faveur des droits humains et de la santé sexuelle et reproductive. Le coût du projet est estimé à 10 millions deuros, financé par l'AFD.
Il s'agissait, à travers cette 3e réunion du comité de pilotage, présidé par le secrétaire général du Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique, Dr. Mama Coumaré, en présence du directeur général de l'OOAS, Okolo Stanley, de faire le bilan de la seconde année du projet ; d'examiner les difficultés rencontrées au cours de la mise en oeuvre et de valider le plan de travail de la troisième année du projet. Elle a réuni environ une trentaine d'acteurs venus du Bénin, du Burkina Faso, du Niger et du Mali, hôte de la rencontre.
L' Agence Française de Développement, représentée par M. Romain, sest réjoui de la mise en uvre de ce projet qui vise à améliorer la santé de la reproduction à travers ladoption de bonnes pratiques en santé et une meilleure répartition de la dividende démographique. Il a réitéré l'engagement et la disponibilité de l'AFD à soutenir cette initiative dans la sous-région pour son développement harmonieux.
Okolo Stanley, directeur général de l'OOAS, d'inviter la société civile et l'ensemble des partenaires sans oublier les hommes des médias dont le rôle, à l'en croire, est inestimable, à un engagement sans faille pour l'atteinte des objectifs ; à savoir : un meilleur partage du dividende démographique à travers l'espacement des naissances face aux taux d'infécondité très élevés dans la sous-région.
Le secrétaire général du ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique, Dr. Mama Coumaré, a remercié l'AFD pour tout son soutien et d'avoir garanti l'entrée de notre pays dans le mécanisme de financement régional des produits de la santé de la reproduction (SR) et de la Planification Familiale (PF) dans lespace Cédéao.
Il a rappelé les défis à relever pour latteinte des objectifs assignés à la PF, entre autres, la disponibilité permanente des produits de santé dont les contraceptifs ; lexistence des équipes compétentes et qualifiées aux méthodes de gestions des produits en vue de remédier au problème de sur-stockage et/ou des ruptures ; la multiplication des activités de recherches opérationnelles sur la SR en général et sur loffre et la demande en services de PF dans les pays membres du projet.
Le Segal a informé les participants de la réforme engagée par notre pays à travers le MSHP, centrée en premier lieu sur la santé communautaire en vue du rehaussement significatif des indicateurs de la santé maternelle et infantile.
Ousmane Daou
La Mutuelle des services de santé des armées (Mutssa) a tenu, le vendredi 26 avril 2019, à la direction centrale des services de santé des armées (DCSSA), son assemblée générale ordinaire. L'objectif était de présenter le bilan des activités de 2018 et d'adopter le programme d'activités 2019. Les intérêts réalisés par la Mutssa, du 1er avril au 31 décembre 2018 s'élèvent à 24 806 831 F CFA.
La cérémonie d'ouverture était présidée par le général de brigade Boubacar Dembélé, directeur central des services de santé des armées en présence du médecin/lieutenant-colonel, Assa Badiallo Touré, présidente du conseil d'administration de la Mutuelle. Les dépenses de la Mutuelle des services de santé des armées concernent les payements des prestations de départ de la retraite, les remboursements pour résiliation de contrat et les décès, les fournitures de bureau, l'entretien et la réparation, les payements de primes et indemnités.
En 2017, les intérêts réalisés sur les comptes dépôts à terme de la Mutssa étaient de 270 000 000 F CFA à la Banque malienne de solidarité (BMS) et de 5 000 000 F CFA à l'ex-Banque de l'habitat du Mali (BHM). En 2018, la prestation retraite de la Mutuelle est passée de 1 250 000 F CFA à 2 000 000 F CFA et la cotisation de 3000 F CFA à 5000 F CFA.
Du 1er avril au 31 décembre 2018, les intérêts réalisés par la Mutssa s'élèvent à 24 806 831 F CFA. En 2019, l'avoir général s'élève à 512 055 325 FCFA. Au cours de l'assemblée générale, les délégués ont échangé sur le passage de la prestation retraite de 2 000 000 F CFA à 2 500 000 F CFA en 2019, les propositions en cas de décès, les modalités de mise à disposition du sucre pour le mois de ramadan 2019.
Le médecin/lieutenant-colonel, Assa Badiallo Touré s'est réjouie de la tenue de cette assemblée générale ordinaire après plusieurs années d'interruption à cause de la crise que connaît notre pays. Elle a appelé tous les mutualistes à jouer leur partition pour le bon fonctionnement de la Mutuelle. "La Mutssa, notre mutuelle est à nous et c'est à nous de la faire vivre, de la faire vivre d'abord par nous-mêmes et pour nous-mêmes", a-t-elle déclaré.
Le général Boubacar Dembélé a remercié les responsables de la Mutuelle pour les bons résultats obtenus tout en les exhortant à plus d'efficacité. "Nous invitons le conseil d'administration et la commission de contrôle à redoubler d'efforts afin de doter la Mutssa d'un système de gestion efficace et transparent pour qu'elle soit protégée contre les malversations de tout genre dont souffrent beaucoup de mutuelles", a-t-il ajouté.
Abdrahamane Diamouténé
Le Centre national d’odontostomatologie (CNOS) a célébré hier 20 mars 2019 la Journée mondial de la santé bucco-dentaire. A travers cette célébration, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Pr. Samba Ousmane Sow, s’est appesanti sur les grands axes de la réforme de notre système de santé.
Notre pays, à l’instar des autres pays au monde, a célébré ce 20 mars, la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire dont le thème central est : "Dis Aah : agis pour la santé de ta bouche". Il s’agissait, pour la communauté internationale et nationale de magnifier la santé bucco-dentaire, comme une composante incontournable de la santé générale.
Cette journée est l’occasion pour, le Centre national d’odonto-stomatologie (CHU-CNOS), d’organiser des consultations gratuites chez les enfants du préscolaire et sensibiliser la population sur l’hygiène bucco-dentaire en vue de promouvoir un changement de comportement.
Pour le directeur général du CNOS, Pr Souleymane Togora, le thème de cette année est révélateur car, à l’en croire, la carie dentaire est la maladie infectieuse la plus répandue de par le monde et la bouche reste la première porte d’entrée de l’infection. Il a réitéré l’engagement du personnel du CHU-CNOS à relever les défis immenses pour venir à bout des affections bucco-dentaires.
Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Pr. Samba Ousmane Sow, a salué la tenue de cette journée. Selon lui, les maladies bucco-dentaires touchent une majeure partie de la population et cela à tout âge.
Il a rappelé les indicateurs troublants de la Fédération dentaire internationale (FDI). "Les maladies bucco-dentaires affectent 3,9 milliards de personnes dans le monde et elles exercent un poids considérable sur les individus, les communautés, les systèmes de santé, les économies et la société dans son ensemble", a indiqué Pr. Sow.
A l’en croire, les affections bucco-dentaires peuvent être prévenues et réduites par des mesures simples et efficaces à tous les âges de la vie suivant les conseils des praticiens. "Ce qui permettra également d’amoindrir les coûts de prise en charge des soins autant pour les gouvernements que pour les patients", a souligné le MSHP. Et d’ajouter que les facteurs de risques tels que, le tabagisme, l’abus de l’alcool et du sucre, et une bonne hygiène alimentaire peuvent protéger les dents et la bouche toute la vie.
Réforme
Pour sa première rencontre avec les agents du CNOS, Pr. Samba Ousmane Sow a abordé la réforme de notre système de santé dont le document cadre a été validé en début mars sous la présidence du président de la République.
Pour le chef du département de la Santé, la réforme du système de santé n’est autre qu’une mise à jour de notre système de santé qui vise l’amélioration de la qualité des soins à travers le rehaussement du plateau technique et des meilleures conditions pour les agents de santé.
Déjà, selon Pr. Sow, la réforme qui doit débuter par la gratuité des soins de santé primaire, l’OMS assure notre pays de son accompagnement indéfectible à travers un programme créé à cet effet, qui va retenir trois pays pour sa première phase. A cela, s’ajoutent les promesses de plusieurs partenaires techniques et financiers, dont le gouvernement canadien qui promet des dizaines de millions de dollars.
Selon lui, l’ambition du département est de faire du CNOS un pôle d’excellence dans la lutte contre les pathologies liées à la santé bucco-dentaire, mais aussi et surtout dans la formation des professionnels de la santé en général.
Il s’est dit persuadé que l’amélioration du plateau technique par l’adaptation des équipements aux standards internationaux et la formation des acteurs à la prise en charge des patients, consignées dans le projet d’établissement du CNOS va garantir à terme, l’atteinte des objectifs.
Cette cérémonie a noté la présence de l’Ordre des chirurgiens-dentistes du Mali, du vice-président de l’AOSMA. La cérémonie a été agrémentée par la prestation de sketches par des pensionnaires de jardins d’enfant de Bamako et de Kati.
Ousmane Daou
En vue de l'amélioration de la santé des Maliens, le ministre de la Santé et de l'Hygiène publique, Pr. Samba Ousmane Sow, a entrepris la réforme de notre système de santé. Au delà de nos frontières, cette initiative est saluée par les partenaires techniques et financiers à tel point que la presse internationale ne tarit pas d'éloges sur ce quon peut qualifier de prouesse malienne. Actuellement l'un des projets qui fait l'unanimité auprès des partenaires techniques et financiers du Mali reste la réforme de notre système de santé engagé par le ministre de la Santé et de l'Hygiène, conformément à la volonté du président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta. Depuis lidée première, jusqu'à la validation de son document cadre, à travers un l'atelier national de haut niveau, organisé du 25 au 28 février 2019 au CICB, le projet de réforme du système de santé porté par le Pr Samba Ousmane Sow ne cesse d'engranger des soutiens tant sur le plan national qu'international. L'élan de soutien international est tel que la presse internationale ne tarit pas d'éloges sur cette réforme de notre système de santé qui permettra l'amélioration de la santé des populations maliennes. Le journal britannique, le plus côté, The Guardian, écrivait en titre d'un de ses articles datant du 7 mars 2019. "Moment incroyable : le Mali, un pays pauvre, accorde des soins gratuits aux enfants de moins de cinq ans". Toujours dans le même article, on pouvait lire : "Les réformes en profondeur de la santé, qui incluent également la gratuité des soins pour les femmes enceintes, annoncées comme un "tournant" national. Après des décennies de taux de mortalité maternelle et infantile parmi les plus élevés au monde, le Mali s'est engagé à fournir des soins de santé gratuits aux femmes enceintes et aux enfants de moins de cinq (5) ans dans le cadre d'une démarche courageuse et audacieuse visant à réorganiser son système de soins de santé...... Des experts en soins de santé, des organisations humanitaires internationales et des citoyens maliens ont commenté cette annonce comme un «moment extraordinaire» pour un pays qui lutte depuis longtemps pour contenir les maladies infectieuses évitables telles que le paludisme, la pneumonie et la diarrhée, et où un enfant sur 10 meurt avant son cinquième anniversaire". Robert Yates, directeur de projet au centre sur la sécurité sanitaire mondiale, cité par The Guardian déclarait que " le Mali est lun des pays les plus pauvres du monde et cela montre que les principes de la santé universelle sont aussi applicables dans des pays comme le Mali quau Royaume-Uni". Charlotte Lejeune, directrice du Mali pour la Clinton Health Access Initiative, qui soutient les réformes du ministère de la Santé, a également déclaré, dans The Guardian que "le ministre de la Santé et de lHygiène publique est très ambitieux et visionnaire et son engagement et sa vision sont impressionnants. C'est dire que s'il a le bon niveau de soutien, il peut le faire, et c'est pourquoi les gens sont si mobilisés. Sera-t-il facile? Absolument pas. Mais la situation est telle quil ne peut que laméliorer ". Un autre journal britannique "Le Financial Times" et la chaîne de télévision qatarie "Aljazeera" ont également parlé de l'importance de cette réforme de notre système de santé dans l'amélioration de la santé des Maliens. Aussi cette réforme est fortement appréciée par les partenaires internationaux. Le fonds Gavi ( Global Alliance for Vaccines and Immunization), qui intervient dans le cadre de l'immunisation au Mali à travers l'Unicef (organisation des nations unies pour l'enfance), a apporté son soutien inconditionnel à la réforme de notre système de santé initiée par le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Pr Samba Ousmane Sow, en vue d'apporter des soins de santé primaires aux populations maliennes où qu'elles se trouvent sur le territoire national dans l'atteinte de la couverture universelle sanitaire comme voulue par le président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, dans la lettre de mission assignée au gouvernement. Eu égard à lintérêt quaccorde le monde entier au Mali suite à sa décision de rendre plus accessibles les soins de santé aux couches sociales vulnérables, lon peut déjà affirmer que le ministre Samba Sow a réussi un pari. Celui de ramener notre pays en bonne place dans le concert des Nations. A la date daujourdhui, les annonces de soutien de son projet de réforme par les partenaires internationaux se comptent par dizaine. A. D
Retrouvez le bulletin épidémiologique hebdomadaire du 11 au 17 février 2019 . A télécharger ci-dessous
Retrouvez le bulletin épidémiologique hebdomadaire de la quatrième semaine de l’année 2019 . A télécharger ci-dessous