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Les inscriptions pour la formation en chaîne de Froid Solaire de l’édition 2017 sont ouvertes !

Nous avons le plaisir de vous informer que le Centre LOGIVAC Bénin organise l’édition 2017 de la formation en Chaîne de Froid Solaire du 6 au 11 février à l’Institut Régional de Santé Publique Comlan Alfred Quenum (IRSP) de Ouidah au Bénin. A cet effet, les inscriptions sont ouvertes du 15 décembre 2016 au 20 janvier 2017. 

Délivrée entièrement en face-à-face, la formation en chaîne du froid solaire répond à ces enjeux de santé publique. Elle s’adresse prioritairement aux logisticiens en charge des activités du programme de vaccination, techniciens du secteur public et privé.  

A l’issue de la session, les apprenants auront les compétences techniques pour :

  • ·         choisir les équipements de la chaîne du froid solaire adaptés ;
  • ·         assurer les conditions optimales pour l’installation des équipements de chaîne du froid, selon les spécificités du site ;
  • ·         installer et mettre en service les équipements de chaîne du froid solaire (système photovoltaïque et équipement réfrigérant) ;
  • ·         diagnostiquer les dysfonctionnements des équipements de la chaîne du froid solaire et identifier les conduites à tenir ;
  • ·         diagnostiquer et effectuer des réparations simples sur sites ;
  • ·         former et superviser les agents de santé à l’utilisation et l’entretien courant des équipements de chaîne du froid solaire.

Nous vous invitons à vous inscrire ou à faire une large diffusion dudit message après avoir consulté la plaquette de présentation expliquant en détail le programme de formation et les modalités d’inscription.

Téléchargez la plaquette de présentation

Télécharger les pièces jointes :
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Bulletin semestriel de retro information de la surveillance épidémiologique-District sanitaire de Dioïla

Du 1er janvier au 30 septembre, dans le district 157 cas suspects de méningite (14 cas confirmés au laboratoire), 18 cas suspects de rougeole (0 confirmés), 4 cas suspects de fièvre jaune et de paralysies flasques aigues (0 confirmés),1 cas de tétanos et de coqueluche et 0 cas des autres maladies à déclaration obligatoire. Aucun des cas de MADO notifié n’est décédé. Plus d’infos dans le bulletin.

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13ème session ordinaire du Conseil d’Administration de l’Agence Nationale Télésanté et d’Informatique Médicale (ANTIM)

L’ANTIM a abrité le 15 décembre 2016 sa 13ème Session ordinaire du Conseil d’Administration (CA) sous la présidence du Dr DEMBELE Sekou O, Conseiller technique représentant de Madame la Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique. Le président de séance dans son discours d’ouverture a félicité l’ANTIM pour sa contribution remarquable dans le système de santé.
Au cours de la présente  session, six (05) documents étaient soumis à l’appréciation des administrateurs. Il s’agissait entre autres d’examiner:
1.    Le procès verbal (PV) et le Compte rendu de la 12ème session extraordinaire du CA,
2.    Le point d’exécution de mise en œuvre des recommandations de la 12ème session du CA,
3.    Les rapports d’activités et financier 2016,
4.    Le programme d’activités 2017 et le projet de budget 2017,
5.    Divers : pose de la première pose du siège de l’ANTIM et reforme des véhicules.

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Annonce de la cérémonie de pose de la première pierre du siège de l'ANTIM

La cérémonie de pose de la première pierre du siège de l'Agence Nationale de Télésanté et d'Informatique Médicale (ANTIM) aura lieu ce vendredi 16 décembre 2016 à partir de 09h00 sous la présidence de Madame le Ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique, Dr marie Madeleine TOGO à Hamadallaye entre la Maternité Renée Cissé et le centre des impôts de la commune IV du district de Bamako.

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Annonce du Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique et de l'Ambassade allemande d'une cooperation prolongée dans le sens de la creation d'un reseau de biosurete dans les pays du G5 Sahel à l'occasion de l'exercice de déploiement du laboratoire

Dans le cadre des projets germano-maliens intitulés : « Laboratoire mobile » et « Vers la création d’un réseau de sûreté biologique dans les pays du G5 Sahel » des hauts responsables du Mali et des pays du G5 Sahel participent le 08 novembre à une journée d’informations et d’échanges ou « Journée VIP » dans l’enceinte du Centre d’Instruction Boubacar Sada Sy à Koulikoro. L’Ambassade d’Allemagne et le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique du Mali voudraient en la circonstance exprimer leur désir de poursuivre la coopération dans le domaine de la sûreté biologique. Cette coopération prévoit d’être étendue aux autres pays du G5 Sahel.

Du 02 au 09 novembre 2016, une équipe de biologistes maliens organise un exercice de déploiement du laboratoire mobile sur le terrain, mis à disposition du Ministère de la Santé du Mali par le Gouvernement allemand en 2014. L’équipe malienne en collaboration avec leurs partenaires de la Bundeswehr (Forces armées allemandes) simule la gestion d’un foyer d’épidémie d’origine inconnue avec le laboratoire mobile à Koulikoro. C’est dans ce contexte qu’une journée d’information et d’échanges ou « Journée VIP » est organisée avec le soutien du Ministère de la Défense et des Anciens Combattants. Les invités à cet évènement incluent les hauts responsables du Ministère de la Santé, des Forces Armées Maliennes, de l’Ambassade d’Allemagne, des organisations internationales et des partenaires des pays du G5 Sahel. Le représentant de l’Ambassade d’Allemagne annoncera la disposition de son pays à prolonger sa coopération dans le cadre du projet « Vers la création d’un réseau de sûreté biologique du G5 Sahel » et débloquera davantage de fonds à cette fin.

Le projet a démarré en août 2016 et vise à renforcer la coopération sous régionale en établissant entre les différents pays un réseau de biosûreté couvrant l’espace du G5 Sahel. Avec le Mali au cœur de ce réseau, les partenaires du projet élargiront les capacités de laboratoire mobile au Burkina Faso, à la Mauritanie, au Niger et au Tchad. Le but est de renforcer les capacités de tous les Etats membres à réagir à l'apparition de foyers de maladies causées par des agents hautement pathogènes. En cas d'éclatement d‘épidémie –d’origine naturelle ou intentionnelle –il est attendu des experts du G5 Sahel d’être capables de diagnostiquer avec le laboratoire mobile lesdits agents pathogènes. Ce projet, permettra ainsi de renforcer la biosûreté dans toute la région et par conséquent la sécurité globale de l’ensemble des populations des Etats du G5 Sahel.

Le projet qui s’inscrit dans l´initiative allemande « Enable and Enhance » a été lancé sous l’égide du Ministère fédéral des Affaires étrangères et du Ministère fédéral de la Défense de la République d’Allemagne en collaboration avec le Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique du Mali et mis en œuvre par la GIZ, l'Institut de microbiologie des forces armées allemandes (IMB), la Fondation Mérieux (FM) et le Centre d’Infectiologie Charles Mérieux (CICM) du Mali.

Se basant sur le succès du projet germano-malien de laboratoire mobile, trois activités ont été réalisées en 2016 par les partenaires du projet : un atelier de lancement en septembre, une formation des biologistes du G5 Sahel en octobre et un exercice de déploiement en novembre. En septembre, des responsables de haut niveau provenant des ministères et des structures en charge de la santé du Burkina Faso, de la Mauritanie, du Niger et du Tchad ont pris part à l’atelier de lancement du réseau avec leurs homologues maliens au CICM. L'événement a posé en 2016, les premiers jalons d’une coopération entre les Etats du G5 Sahel et le Gouvernement allemand dans le domaine de la biosûreté. En octobre, des experts de laboratoire des Etats du G5 Sahel ont participé à une formation organisée conjointement par l’IMB et le CICM. Ladite formation leur a donné une première impression comment utiliser efficacement le laboratoire mobile dans le diagnostic d’agents hautement pathogènes. Cet exercice de déploiement à Koulikoro vient couronner les activités de 2016 et servir à préparer celles de 2017. Les experts de laboratoire des autres Etats du G5 Sahel ayant pris part à la formation d’octobre y participent comme observateurs pour renforcer leurs acquis.

 

 

 

Contacts utiles pour la presse :

 

-        Benjamin Reiner, Premier secrétaire de l’Ambassade d’Allemagne :

 

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / (+223) 20 70 07 70

 

-        M. Ibrahime Coulibaly, Chargé de Mission du Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / (+223) 76 43 28 31

 

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L'OMS recommande 29 moyens de mettre fin aux infections en chirurgie et d’éviter les superbactéries

 La préparation à une intervention chirurgicale devrait toujours comporter un bain ou une douche, mais pas le rasage, et les antibiotiques ne devraient être utilisés qu’en prévention des infections avant et pendant l’opération, pas après, selon les nouvelles lignes directrices de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) qui visent à sauver des vies, à réduire les coûts et à arrêter la propagation des superbactéries.

Les Lignes directrices mondiales pour la prévention des infections sur le site opératoire(Global Guidelines for the Prevention of Surgical Site Infection) comportent une liste de 29 recommandations concrètes faites par 20 des plus éminents experts mondiaux à partir de 26 études des données les plus récentes.

Ces recommandations ont été aussi publiées aujourd’hui dans The Lancet Infectious Diseaseset sont conçues pour lutter contre la charge croissante des infections liées aux soins de santé qui pèse à la fois sur les patients et les systèmes de santé dans le monde entier.

«Personne ne devrait tomber malade en allant consulter ou en recevant des soins», a déclaré le Dr Marie-Paule Kieny, Sous-Directeur général à l’OMS pour Systèmes de santé et innovation. «La prévention des infections en chirurgie n’a jamais été aussi importante, mais elle est complexe et nécessite toute une panoplie de mesures. Ces lignes directrices sont un outil très précieux pour protéger les patients.»

Les infections du site opératoire sont dues à des bactéries qui s’introduisent au cours des incisions faites pendant l’intervention. Chaque année, elles menacent la vie de millions de patients et contribuent à la propagation des résistances aux antibiotiques.

Dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, 11% des patients opérés sont infectés au cours de l’intervention. En Afrique, jusqu’à 20 % des femmes ayant une césarienne contractent une infection de la plaie, ce qui compromet leur santé et leur capacité de s’occuper de leurs enfants.

Mais le problème des infections du site opératoire n’est pas réservé aux pays pauvres. Aux États-Unis, elles contribuent à plus de 400 000 journées supplémentaires d’hospitalisation, augmentant les dépenses totales de 900 millions de dollars (US $) par an.

Prévention des infections avant, pendant et après l’acte chirurgical

On trouve dans les lignes directrices 13 recommandations à appliquer avant l’intervention et 16 pendant et après l’acte chirurgical pour la prévention des infections. Elles vont de simples précautions, comme s’assurer que les patients se baignent ou prennent une douche avant l’opération ou décrire le meilleur moyen de se laver les mains pour les équipes chirurgicales, à des orientations sur les antibiotiques à utiliser en prévention, les désinfectants à employer avant les incisions et les sutures à faire.

«Tôt ou tard, nombre d’entre nous devrons se faire opérer mais personne ne souhaite contracter une infection sur le billard», a déclaré le Dr Ed Kelley, Directeur à l’OMS du Département Prestation de services et sécurité. «En appliquant ces nouvelles lignes directrices, les équipes chirurgicales peuvent réduire les effets néfastes, améliorer la qualité de vie des patients et faire leur part pour arrêter la propagation des résistances aux antibiotiques. Nous recommandons aussi aux patients se préparant pour une opération de demander à leur chirurgien s’il applique les conseils de l’OMS.»

Il n’y avait jusqu’à présent aucune ligne directrice internationale, fondée sur des bases factuelles, et il y a des incohérences dans l’interprétation des faits et des recommandations dans les directives nationales existantes. Les nouvelles lignes directrices de l’OMS sont valables pour tous les pays, peuvent être adaptées aux conditions locales et prennent en compte la validité des données scientifiques disponibles, les conséquences en termes de coût et de ressources, ainsi que les valeurs et les préférences des patients.

En donnant des recommandations plus détaillées sur la prévention des infections, elles viennent compléter la Liste de contrôle de sécurité chirurgicale, un document populaire de l’OMS indiquant un grand nombre de mesures de sécurité.

Enrayer la propagation de la résistance aux antibiotiques

Point important, les lignes directrices recommandent de n’utiliser les antibiotiques pour la prévention des infections qu’avant et pendant l’opération seulement, une mesure cruciale pour arrêter la propagation de la résistance aux antimicrobiens. Il ne faut pas les utiliser après les interventions, comme c’est souvent le cas.

Les antibiotiques sont des médicaments utilisés pour prévenir et traiter les infections bactériennes. La résistance survient quand les bactéries changent en réaction à l’utilisation de ces médicaments. Elle se développe naturellement au cours du temps, mais l’usage abusif des antibiotiques chez l’homme et l’animal accélère fortement le processus.

La résistance aux antibiotiques compromet les succès de la médecine moderne. Sans antibiotiques efficaces pour la prévention et le traitement des infections, les transplantations d’organes, la chimiothérapie du cancer et certaines interventions chirurgicales comme les césariennes et la pose de prothèses de hanches deviendront beaucoup plus dangereuses. Cela entraînera une prolongation des hospitalisations, une augmentation des frais médicaux et une hausse de la mortalité.

De nombreuses études montrent que la mise en œuvre d’un certain nombre de mesures de prévention fait baisser sensiblement les effets nocifs des infections du site opératoire. Une étude pilote dans 4 pays africains a mis en évidence que l’application d’une sélection des nouvelles recommandations pouvait entraîner une baisse de 39% du nombre des infections du site opératoire. S’appuyant sur ces exemples de réussites, l’OMS prépare un guide et un kit pratique qui aideront les autorités nationales et locales à appliquer les recommandations.

Pour plus d’informations, veuillez prendre contact avec:

Simeon Bennett
Chargé de communication, OMS
Téléphone: +41 22 791 4621
Portable : +41 79 472 7429
Courriel: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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Avis de vacance de poste

L’Organisation Ouest Africaine pour la Santé avec le concours de l’USAID et du CAPS souhaite recruter deux Experts respectivement en système d’Information Sanitaire et en Base de données (postes contractuels de 18 à 24 mois), renouvelable selon la disponibilité des fonds et la bonne performance de l’Expert. Pour en savoir plus, téléchargez les avis.   

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Atelier de formation des équipes d’intervention rapide à Fana (du 04 au 14 octobre 2016)

Du 04 au 14 octobre 2016, s’est tenu dans la salle de  conférence  de l’Hôtel « Les Moulins » de Fana,  la  deuxième phase du pool de formation des membres des équipes d’intervention rapide prenant en compte les régions de Koulikoro, Ségou, Mopti et des districts sanitaires de Fana et Kangaba sur la gestion des urgences de santé publique.

La formation a été possible grâce à l’appui de OMS –Mali en collaboration avec le Centre opérationnel d’urgence (COU) et la direction nationale de la santé.

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