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Rapport interne de l’OMS au MALI de la Maladie à virus Ebola (Situation du 6 décembre 2014)

Situation cumulée à la date du 6 décembre 2014 se présente comme suit :

Pas de nouveau cas suspect notifié ce jour ;
Un seul cas confirmé est hospitalisé au centre de traitement de Bamako ;
la journee a été également marquée par la visite du Premier Ministre dans le district sanitaire de Kangaba (Région de Koulikoro), accompagné d’une
forte délégation.

Pour plus d'information, veuillez télécharger le rapport ci dessous

Situation de la maladie à virus Ebola à la date du 5 décembre 2014

Ce jour vendredi 05 décembre 2014, la situation de la lutte contre la maladie à virus Ebola se présente comme suit :

- Sept (7) cas positifs : six (6) liés au patient guinéen et la fillette de Kayes ;
- Cinq (5) décès dont quatre (4) liés au patient guinéen ;
- Un (1) cas confirmé est toujours en traitement dans un centre spécialisé ;
- Zéro (0) nouveau cas confirmé ce jour ;
- Zéro (0) nouveau suspect ce jour ;
- Le cas suspect enregistré hier jeudi 04 décembre a été testé négatif ce jour ;
- Levée de suivi sur 33 personnes-contacts ;
- Le nombre de personnes-contacts est de 28 ;
- Le nombre de contact suivi ce jour est de 25 ;
- Le nombre de contacts non vus est de deux (2) soit un taux de suivi de 92,59% ;
- Un (1) cas a été guéri et libéré le vendredi 28 novembre 2014.

Malgré la stabilisation de la situation, le Gouvernement appelle la population à la vigilance, et à signaler tout signe pouvant évoquer cette maladie aux services compétents, afin de réunir toutes les conditions favorables à une guérison.

Le Gouvernement renouvelle son soutien aux agents de la santé et aux services de sécurité pour faire respecter avec rigueur les consignes de contrôle sanitaire.

Le Gouvernement remercie l’ensemble de la communauté internationale pour son appui conséquent dans la lutte contre la maladie, et ses témoignages de solidarité à l’endroit du Mali.

Le Gouvernement invite toutes les personnes ayant eu des contacts directs ou indirects avec les personnes déclarées positives à se faire identifier, pour un contrôle sanitaire, en appelant les numéros verts : 80 00 89 89 / 80 00 88 88 / 80 00 77 77.

Bamako, le 05 décembre 2014
Le Coordinateur du Centre Opérationnel d’Urgence
Pr Samba O. SOW

EBOLA : UN NOUVEAU MOBILE AU CENTRE D'INFECTIOLOGIE CHARLES MEREUX DE BAMAKO

  • Publié dans EBOLA

L'inauguration du laboratoire a été fait en présence du représentant du ministère malien de la santé le Dr Ousmane Doumbia et des diplomates français et allemands. Il est composé de plusieurs appareils et équipements médicaux.
L'ambassadeur d'Allemagne au Mali Günter Overfeld.a indiqué que les professionnels maliens de la santé seront formés par des experts Allemands et français.
Le laboratoire entièrement équipé et près à l'utilisation, sera comme son nom l'indique, présent sur l'ensemble du territoire national en cas de besoin.
Le Dr Doumbia se réjouit du fait que "le laboratoire permettra de lutter plus efficacement contre Ebola". Il précise que ce labo est capable de diagnostiquer d'autres maladies tel que le paludisme.
Le coordinateur du centre opérationnel d'urgence de lutte contre Ebola au Mali, Pr Samba Sow a estimé que : " ce nouvel outil permettra un gain de temps précieux à la fois pour le diagnostic et pour la prise en charge des cas confirmés. Cela augmentera ainsi leurs chances de survie". Le Pr Sow ajoute que : "La première chose qu'on va gagner avec ce laboratoire, c'est le temps qui va permettre une meilleure prise en charge des cas confirmés positifs". Un autre avantage non moins négligeable pour le coordinateur du Centre Opérationnel d'Urgence, le transport sécurisé des prélèvements. Pr Sow rappel que dans certains pays tel que la Guinnée voisine, des convois de prélèvements ont été attaqués, des prélèvements ont été subtilisés.
Selon un bilan publié hier jeudi par l'Organisation Mondiale de la Santé, l'épidémie actuelle d'Ebola a fait 6.113 morts sur 17.256 cas recensés. Ces chiffres concernant essentiellement le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée Conakry.
Selon le dernier bilan du Centre Opérationnel d'Urgence, le Mali enregistre actuellement 7 décès dus à Ebola et une guérison datant du 26 novembre.
Le gouvernement du Mali a, dans un communiqué publié ce jeudi 3 décembre, annoncé la confirmation d'un cas demeurait en traitement dans un centre spécialisé. 58 personnes ayant pu avoir des contacts avec les porteurs du virus sont sous surveillance sanitaire.

Ebola: Visite du Directeur régional de l'OMS pour l'Afrique et de l'envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l'Ebola à Koulouba

  • Publié dans EBOLA

Le Président de la République Son Excellence Monsieur Ibrahim Boubacar KEITA a reçu en audience en début de soirée ce mercredi, le Directeur régional de l'OMS pour l'Afrique en fin de mission Dr Luis Gomes SAMBO.
Il était accompagné de l'envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour l'Ebola David NABARRO, du Représentant résident de l'OMS Dr Ibrahima Socé Fall nommé récemment chef de la mission des Nations Unies pour l’action d’urgence contre Ebola au Mali, et du Conseiller spécial du Président de la République chargé de la riposte contre Ebola au Mali, Prof. Samba SOW.
Le Chef de l'Etat et ses hôtes ont essentiellement parlé de la lutte contre la fièvre hémorragique à virus Ebola. Ils ont, en particulier, passé en revue le dispositif de riposte nationale contre la maladie, ainsi qu’ils ont évalué les urgences à mettre en place pour éviter de nouvelles contaminations.
Les hôtes du Chef de l'Etat l’ont félicité pour les mesures mises en place afin de contrer la maladie. Enfin, ils ont réitéré leur engagement à accompagner le Mali dans le dur et long combat contre Ebola.

Ebola : trois traitements vont être testés en Guinée et au Liberia

  • Publié dans EBOLA

 

 

 

A la mi-décembre, un traitement curatif contre Ebola va être expérimenté en Guinée forestière, dans le centre de Guéckédou géré par Médecins sans frontières (MSF). C’est une équipe de l’Inserm qui va diriger ce premier essai sur des malades infectés par le virus qui, depuis le début de l’épidémie déclarée fin mars, a fait 5 674 morts sur 15 901 cas principalement dans trois pays d’Afrique de l’Ouest (le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée), selon le bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) du 26 novembre. Il s’agit de la première des trois expérimentations de traitement thérapeutique coordonnées par l’OMS.

A Guéckédou, l’équipe va tester le favipiravir, un médicament mis au point contre la grippe par le laboratoire japonais Toyama Chemical, filiale de Fujifilm. Cet essai devrait être étendu à deux autres centres de traitement, situés aussi en Guinée forestière : l’un à Macenta, ouvert par la Croix-Rouge française le 18 novembre ; l’autre à N’Zérékoré, qui doit accueillir ses premiers malades fin novembre, sous la responsabilité de l’ONG internationale Alima.

« L’essai principal va se faire sur soixante adultes, volontaires, arrivés au centre dans les quarante-huit heures après les premiers symptômes, car pour être efficace, il ne faut pas que le malade soit trop atteint », explique le docteur Xavier Anglaret, directeur de recherches Inserm, venu en Guinée pour coordonner l’expérimentation.

Des fortes doses, largement supérieures à celles préconisées pour traiter les grippes sévères, seront administrées s...


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/11/28/ebola-trois-traitements-vont-etre-testes-en-guinee-et-au-liberia_4531090_3244.html#V2q4Eeoaqejz9kL8.99

 

 

 

Ebola : des chercheurs vont expérimenter en Guinée un test en 15 minutes

  • Publié dans EBOLA

Le prototype, mis au point par l’Institut Pasteur de Dakar, est six fois plus rapide que les tests actuellement utilisés, qui nécessitent près de deux heures.

Des chercheurs vont expérimenter en Guinée, un des pays les plus touchés par l’épidémie d’Ebola, des tests de détection du virus qui ne prendraient qu’un quart d’heure, ont annoncé vendredi le gouvernement britannique et la fondation caritative Wellcome Trust qui financent l’initiative. Le prototype, mis au point par l’Institut Pasteur de Dakar, est six fois plus rapide que les tests actuellement utilisés, précisent l’organisation et le département britannique d’aide au développement dans un communiqué commun.

«Un test fiable de 15 minutes qui pourrait confirmer des cas d’Ebola serait un outil efficace pour gérer l’épidémie d’Ebola, permettant l’identification, l’isolement et le traitement des patients dès que possible», a déclaré une responsable de Wellcome Trust, Mme Val Snewin. Elle a précisé que les tests étaient conçus pour être utilisés dans des dispensaires ruraux où l’électricité et les systèmes de réfrigération font souvent défaut.

Les essais seront menés dans les semaines à venir par des chercheurs de l’Institut Pasteur de Dakar dans un centre de traitement d’Ebola de Conakry, la capitale guinéenne. Les nouveaux tests «pourront quadrupler le nombre de tests auxquels on peut procéder chaque jour et faciliter la lutte contre la propagation d’Ebola», a ajouté la secrétaire au Développement international Justine Greening, citée dans le communiqué. Les tests actuels, basés sur la détection génétique du virus, prennent en moyenne un peu plus de deux heures et doivent être pratiqués exclusivement en laboratoire.

Des tests rapides sont actuellement en cours de développement dans plusieurs pays, notamment au Japon et aux Etats-Unis. En octobre, des chercheurs français du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), avaient également développé un test de diagnostic rapide en moins de 15 minutes.

Ebola a fait près de 5 700 morts, pour l’essentiel dans trois pays d’Afrique de l’Ouest. La Guinée d’où est partie l’épidémie a enregistré 1 260 morts au 23 novembre, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé.

Source: Liberation.fr

Situation de la maladie à virus Ebola à la date du 3 decembre 2014

 

 

 

Ce jour mercredi 03 décembre 2014, la situation de la lutte contre la maladie à virus Ebola se présente comme suit :

- Sept (7) cas positifs : six (6) liés au patient guinéen et la fillette de Kayes ;
- Cinq (5) décès dont quatre (4) liés au patient guinéen ;
- Un (1) cas confirmé est toujours en traitement dans un centre spécialisé ;
- Zéro (0) nouveau cas confirmé ce jour ;
-Zéro (0) cas suspect ce jour ;
- Un (1) prélèvement effectué hier sur une dépouille mortelle suspecte a été testé négatif ;
- Le nombre de personnes-contacts est de 60,
- Le nombre de contact suivi ce jour est de 59,
- Le nombre de contacts non vus est de un (1), soit un taux de suivi de 99,3%
Levée de suivi sur cent soixante-sept (167) personnes-contacts.
-Un (1) cas guéri et libéré le vendredi 28 novembre 2014.

Malgré la stabilisation de la situation, le Gouvernement appelle la population à la vigilance, et à signaler tout signe pouvant évoquer cette maladie aux services compétents, afin de réunir toutes les conditions favorables à une guérison.
Le Gouvernement renouvelle son soutien aux agents de la santé et aux services de sécurité pour faire respecter avec rigueur les consignes de contrôle sanitaire.

Le Gouvernement remercie l’ensemble de la communauté internationale pour son appui conséquent dans la lutte contre la maladie, et ses témoignages de solidarité à l’endroit du Mali.

Le Gouvernement invite toutes les personnes ayant eu des contacts directs ou indirects avec les personnes déclarées positives à se faire identifier, pour un contrôle sanitaire, en appelant les numéros verts : 80 00 89 89 / 80 00 88 88 / 80 00 77 77.

Bamako, le 03 décembre 2014
Le Coordinateur du Centre Opérationnel d’Urgence
Pr Samba O. SOW

 

 

 

Message du Directeur Executif de l'ONUSIDA pour la journée mondiale du sida 2014

En cette Journée mondiale de lutte contre le sida, n’oublions pas les vies prises par le virus Ebola ni les pays et les populations touchés par sa flambée en Afrique occidentale.

L’épidémie d’Ebola nous rappelle les premiers jours de l’épidémie de sida : les personnes étaient effrayées et se cachaient, la stigmatisation et la discrimination étaient omniprésentes, et l’on ne disposait d’aucun médicament. L’espoir était mince.

Mais aujourd’hui, grâce à la solidarité mondiale, à la mobilisation sociale et à l’activisme de la société civile, nous avons pu – tous ensemble – transformer cette tragédie en opportunité. Nous avons réussi à rompre la conspiration du silence, à faire baisser les prix des médicaments et à briser la trajectoire de l’épidémie de sida. Tout ceci a permis de sauver des millions de vies.

Nous devons maintenant briser l’épidémie pour de bon, faute de quoi elle pourrait redémarrer et il deviendrait alors impossible d’y mettre fin.

Nous disposons d’une courte fenêtre d’opportunité de cinq ans pour atteindre ceux qui restent laissés pour compte, les personnes dont les droits ont été niés – les jeunes femmes et les adolescentes, les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, les migrants, les personnes incarcérées, les professionnel(le)s du sexe et les personnes qui consomment des drogues injectables.

Pour ce faire, nous devons faire en sorte que les systèmes de santé soient renforcés afin qu’ils puissent fournir les services essentiels nécessaires et que la société civile soit soutenue pour pouvoir continuer de jouer son rôle vital.

En cette Journée mondiale de lutte contre le sida 2014, l’heure est venue pour nous de redoubler d’efforts, d’accélérer notre action et de combler l’écart entre les personnes qui ont accès aux services de prévention, de traitement, de soins et d’appui en matière de VIH et celles qui restent sur le bord du chemin.

En accélérant l’action dans les pays, les villes et les communautés, nous pouvons atteindre les personnes les plus durement touchées par le VIH. En atteignant les cibles « 90-90-90 » de l’Initiative Accélérer, nous pouvons faire en sorte que d’ici à 2020, 90 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur séropositivité, 90 % des personnes conscientes de leur séropositivité aient accès au traitement et 90 % des personnes sous traitement atteignent des niveaux de VIH indétectables dans leur organisme.

Alors unissons-nous en cette Journée mondiale de lutte contre le sida pour combler l’écart pour pouvoir mettre fin à l’épidémie de sida d’ici à 2030.

ONUSIDA