Le rapport du 10 mars 2016 n'enregistre aucun nouveau cas

Cependant le bilan reste inchangeable avec  24 cas présumés, 10 cas confirmés, dont 07 cas de meningo C,  01 cas de meningo non typable, 02 cas de pneumo et 06 décès.

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A ce jour  le bilan est le suivant: 24 cas présumés, 10 cas confirmés, dont 07 cas de meningo C,  01 cas de meningo non typable, 02 cas de pneumo et 06 décès.

Pas de nouveau cas confirmé.

Pour plus en savoir plus, veuillez télécharger le rapport ci-dessous 

A ce jour 8 mars le bilan se présente comme suite : 24 cas présumés, 10 cas confirmés, dont 07 cas de meningo C,  01 cas de meningo non typable, 02 cas de pneumo et 06 décès.

Pour plus en savoir plus, veuillez télécharger le rapport ci-dessous

Le 7 mars 2016  un (1) nouveau cas a été confirmé après analyse des échantillons envoyés à l'INRSP. A ce jour nous avons 7 cas en traitement, le nombre de sortie est de 4 et nous avons 0 décès enregistré.
Coté vaccination, le nombre de sujets vaccinés est de 3090.
Pour plus d’informations, cliquez ci-dessous pour télécharger le rapport du jour.

Conformément à son engagement de tenir régulièrement informée l’opinion nationale sur l’évolution des menaces de maladies à potentiel épidémique au Mali, le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique communique :
- Une épidémie de méningite à méningocoque C sévit dans deux (2) villages du district sanitaire de Ouléssébougou, région de Koulikoro.
-  Il faut rappeler que le Mali fait partie des pays du sahel situés dans la ceinture méningitique et la saison sèche est propice pour les épidémies de méningite.
La méningite à méningocoque est une maladie infectieuse très contagieuse due à une bactérie. Elle se manifeste le plus souvent par l’apparition d’une fièvre soudaine, des céphalées, la raideur de la nuque et le bombement de la fontanelle chez les nourrissons.

Toute personne présentant un ou plusieurs de ces signes est invitée à se présenter sans délai au centre de santé le plus proche.

En effet la détection et le traitement précoce donnent plus de chance de guérison sans séquelle.

Bilan total à ce jour :

-   20 cas présumés, 9 cas confirmés ;

-   06 décès ;

-   09 hospitalisés en traitement ;

-  Total vacciné à ce jour : 23 064.

Le département de la santé, pour sa part, a pris les mesures de riposte suivantes :

1. le déploiement d’une équipe médicale d’intervention rapide sur le terrain ;
2. le renforcement de la surveillance épidémiologique ;
3. l’investigation des cas: Clinique, prélèvement, analyse de laboratoire ;
4. le regroupement des cas présumés au Centre de Santé de Reference de Ouelessebougou pour une meilleure prise en charge ;
5. la prise en charge gratuite des cas selon les normes de l’OMS et fourniture de repas aux malades et aux accompagnants en partenariat avec l’ONG AMC-ALIMA ;
6. la vaccination des populations dans les localités concernées et les zones adjacentes (13 villages);
7. le renforcement des stocks en vaccin, en médicaments et autres intrants à tous les niveaux en collaboration avec l’OMS;
8. la diffusion des directives de prise en charge dans toutes les structures nationales y compris le secteur privé et  traditionnel;
9. l’élaboration et la diffusion des messages d’information et de sensibilisation des populations à tous les niveaux en plusieurs langues ;
10. la forte implication des autorités politiques, administratives et coutumières de la Commune de Ouelessebougou dans la gestion de cette épidémie;
11. la visite de Madame le Ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique à Ouelessebougou pour exprimer la solidarité du Président de la République et du Gouvernement ;

Le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique rassure les populations de l’application des mesures ci-dessus citées pour accélérer l’interruption de la chaine de transmission.

Il invite également le personnel de santé à plus de vigilance et les populations à un recourt précoce aux services de santé dès l’apparition des premiers signes.

Le Ministère chargé de la Santé remercie l’ensemble des medias publics et privés pour son implication dans la gestion de l’épidémie.

 

 

 



 

Dans l’après-midi du 23 février 2016, le Mali et le fonds mondial ont signé trois nouvelles conventions. Ces conventions concernent les composantes, paludisme, tuberculose et VIH. D’un montant total de 108 millions d’Euros, ces conventions couvrent les périodes 2016 et 2017. Cette cérémonie de signature présidée par le Ministre de la solidarité de l’action humanitaire et de la reconstruction des régions du nord du Mali représentant le Ministre de la santé et de l’hygiène publique a vu la participation d’un représentante de la mairie du district de Bamako, du manager régional du fonds mondial pour l’Afrique de l’Ouest et du centre, de l’ambassadeur de France au Mali, du vice-président du CCM Mali, des représentants des récipiendaires principaux, des représentants des sous récipiendaires et du Directeur Régional adjoint pour l’Afrique de l’Ouest et du centre de l’ONUSIDA, Monsieur Léopold ZEKENG. Prenant la parole au nom des partenaires multilatéraux, Monsieur ZEKENG après avoir adressé les remerciements du Directeur Exécutif et du Directeur Régional pour l’Afrique de l’Ouest et du centre dira que ce nouveau financement du fonds mondial doit aider au renforcement  du système de santé pour que le Mali puisse être au rendez-vous des 90 – 90 – 90 en 2020. Il a aussi rappelé l’engagement du président de la République du Mali pour qu’aucun enfant Malien ne naisse avec le VIH à l’horizon 2020, avant de terminer ses propos en rassurant le gouvernement malien de l’accompagnement des partenaires multilatéraux. Le Ministre de la solidarité de l’action humanitaire et de la reconstruction des régions du nord du Mali représentant le Ministre de la santé et de l’hygiène publique dira dans son intervention que le gouvernement prendra toutes les dispositions pour qu’à l’heure du bilan, le Mali soit dans un nouveau peloton qui fera en sorte que la liste des pays considérés comme ayant une faible capacité de mobilisation soit réduite. La cérémonie a pris fin par la remise de 15 véhicules neufs par le PNUD au gouvernement malien dans le cadre des activités du fonds mondial en cours. Ces véhicules sont destinés au Secrétariat Exécutif du Haut Conseil National de Lutte contre le Sida, à la Cellule Sectorielle de Lutte contre le Sida du Ministère de da la santé et de l’hygiène Publique et à ARCAD/SIDA.

Dr Bassirou DIALLO

Conseiller Mobilisation Communautaire et Réseautage à l’ONUSIDA Mali

Cette formation vise à renforcer les compétences théoriques et pratiques des techniciens de laboratoire de biologie, en insistant sur les bonnes pratiques de laboratoire et les aspects logistiques.

Veuillez télécharger la fiche descriptive ainsi que le formulaire pour la 10e Promotion de BAMS 2016-2017 ci-jointe.

Le Secrétariat général du gouvernement a un nouveau site web.

Son lancement a eu hier au Centre international des conférences de Bamako.
sous la présidence du Premier Ministre Modibo Keïta qui a officiellement donné le premier clic en présence de plusieurs membres du gouvernement dont  celui de la santé et de l'hygiène publique.

ledit site permet l'accès à tous les textes législatifs et réglementaires du mali. En vous souhaitant un bon usage, veuillez trouver le site sous l'adresse www.sgg-mali.ml

Le 30 janvier 2016, l’Alliance des Dirigeants Africains contre le Paludisme (ALMA) a décerné au Mali ainsi qu’aux Comores et à la Guinée, le Prix d’Excellence pour la meilleure progression en matière de contrôle du paludisme entre 2011 et 2015.

Treize autres pays ont été récompensés pour avoir atteint les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) visant à arrêter et à réduire fortement l’incidence du paludisme. Cela indique du coup qu’à travers le continent, les pays font des progrès en matière de lutte contre le paludisme. Bravo au Mali et à tous les Maliens pour les efforts consentis dans la lutte contre le paludisme.

En savoir plus sur: alma2030.org

Le virus Zika, transmis par des moustiques et lié à des malformations néonatales au Brésil, constitue une "urgence de santé publique de portée internationale", a déclaré la directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan, lundi 1er février.

En savoir plus sur la maladie à virus Zika : http://www.who.int/mediacentre/factsheets/zika/fr/